Le jury de déontologie publicitaire a estimé ce jeudi que les véhicules
électriques d'autopartage Bluely à Lyon et Autolib à Paris ne peuvent se
prétendre du qualificatif "écologique" dans leurs publicités.
Selon le
JDP, les publicités qui font la promotion du service d'autopartage se
font sans le moindre élément de relativisation ou de comparaison : "Or,
l'utilisation de ce service induit nécessairement certains effets
négatifs sur l'environnement, notamment les pièces d'usure des véhicules
utilisés et l'électricité nécessaire à leur rechargement, dont il n'est
pas établi qu'elle serait intégralement issue de sources
renouvelables".
Le véhicule électrique de Renault, Zoé, est également
pointé du doigt pour les mêmes raisons.
Déontologie et publicité... c'est beau certains paradoxes....
Signaler RépondreLes mêmes qui autorisaient une pub pour voiture polluante qui se foutaient de la figure des écolos. (Une histoire de CO2 où il ne fallait plus respirer sinon, c'était polluer...
W.V.)
La SNCF a bien compris les dangers de l'électrique et va revenir aux locomotives à fuel et charbon. Ce sera plus sain !
Signaler RépondreLe jury de déontologie publicitaire a des actions chez total ??
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