Selon lui, le président du Grand Lyon et l'ancien président du Conseil
Général envisageaient de sauter une étape dans la feuille de route en
faisant disparaitre le Département au 1er janvier 2015 plutôt qu'en
2021.
L'idée a finalement été abandonnée a précisé ce même Jean-François
Carenco ce mardi matin : "Nous n'avons pas retenu l'hypothèse après
discussion avec le gouvernement".
Concernant la Métropole, il reste à régler "le mode d'élection futur
dans le Grand Lyon. On m'a demandé d'apporter des réponses en octobre,
je n'ai pas vraiment commencé, reconnaît le préfet. Une fois qu'on aura
tout ça, on pourra rassurer le personnel".
Selon le préfet, il reste à préparer la 2e ordonnance financière. "Je
suis convaincu qu'il faut un syndicat de transports dans le Grand Rhône,
il faut l'insérer dans l'ordonnance", a rajouté Carenco, qui ouvre
ainsi la porte à un Sytral tout puissant.
J'étais présente le 21Janvier 2013 pour l'élection à la présidence du Conseil Général. Comme seule candidate de l'opposition: Mme BURRICAND (P.C.F.)
Signaler RépondreLorsque je lis "dictature politique" pour parler de nos élus départementaux, j'ai envie d'inviter les auteurs à se réfugier en Birmanie (ou en Corée du Nord)
Signaler RépondreSoyez sérieux, mesurez vos propos. Danielle Chuzeville n'a pas été parachutés, elle est conseillère générale depuis 2001 et à été élue régulièrement (non ce n'était pas un coup d'état orchestré par les chinois du FBI)...
oh que la place est bonne et que M Mercier est vraiment tout petit pour preuve les batons dans les roues qu'il met ses collgues UDI de Lyon !
Signaler RépondreIl me semble que c'est Mme Danielle CHUZEVILLE qui a été parachutée et élue le 21 Janvier 2013 à la présidence du Conseil Général et non Mr Michel MERCIER qui aurait du abandonner ses multiples mandats pour se consacrer à sa mairie de THIZY. Apparemment Mrs COLLOMB et MERCIER s'assoit dessus la loi des cumuls. Ils ne sont pas les seuls. Une fois de plus, les électeurs (trices) ont été trompés(es). Comme personne ne s'oppose à cette dictature politique, ils (elles) auraient tord de se priver.
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