Au menu des discussions : la promesse toujours non tenue de Gary Klesch,
ancien actionnaire principale du groupe chimique, de céder pour un euro
symbolique la branche aval de Kem One (fabrication de tubes, de
profilés et de composés) la plus rentable mais non concernée par la
procédure de redressement judiciaire lancée en mars 2013.
La promesse
date du mois de septembre au cours d'une audience du tribunal de
commerce.
"Nous voulons le mettre face à ses responsabilités", nous a indiqué ce
mardi matin Jérôme Guillemin, secrétaire du comité d'établissement CGT
Kem One Saint-Fons au sujet de la réunion avec Jean-François Carenco
ajoutant qu'il souhaitait que le représentant de l'État "engage une
procédure juridique".
Pour rappel, le tribunal de commerce de Lyon a validé le 20 décembre
dernier l'offre de reprise de l'industriel français Alain de Krassny,
qui dirige déjà un groupe chimique autrichien. Le projet est d'ailleurs
associé à la société d'investissements OpenGate Capital.
Les promesses n'engagent que ceux qui y croient! hahahaha!!!!
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