Thierry Frémaux : "Le Tour de France et le Festival de Cannes sont des fleurons français"
On le connaissait fan de foot, on ne le savait adepte du judo mais on l'attendait moins dans le cyclisme. Pourtant Thierry Frémaux vaut une véritable passion pour le vélo. Invité sur une étape du Tour de France jeudi, le Lyonnais s'est confié à l'Équipe sur son amour de la pédale, qui a débuté dès sa tendre enfance. "Quand j'étais môme, le Tour de France, c'était pour moi la plus belle existence qu'on pouvait avoir", explique-t-il dans les colonnes du quotidien sportif. Pour parfaire sa culture cycliste, le président de Festival Lumière n'hésitait à se rendre à la bibliothèque municipale de Vénissieux pour lire des "biographies de champions".
Une passion qu'il peut partager avec quelques grands noms du cinéma. "Je parle cyclisme avec mon ami Laurent Gerra, Richard Anconina, Paul Thomas Anderson et Stephen Frears. Daniel Day-Lewis, connaît bien le matériel, comme Dany Boon, un autre fan". Pourtant, peu de films traitent du vélo et de ses champions. Les bons films sont encore plus rares. Selon lui, cela vient du fait que "ce que fait la télévision est parfait. C'est difficile de faire aussi bien en réinventant le réel sur grand écran quand il est si extraordinaire sur le petit". C'est pourquoi l'imagination de Thierry Frémaux grouille d'idées de scénarii. "Il y a eu des tragédies dont le cinéma pourrait raffoler : c'était quoi les derniers jours de Tom Simpson ? Le coeur secret de Marco Pantani ? L'embardée de Frank Vandenbroucke ? La vraie histoire des frères De Vlaeminck ? La solitude de Merckx ? Ça commence à trotter dans la tête de certains producteurs", affirme-t-il. Avis aux amateurs de cyclisme, le cinéma pourrait se saisir rapidement du sujet.
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Ah ces gens qui sont tout le temps en balade sur nos impôts !
Signaler RépondreEt qui le font savoir en plus !