Au moment où des milliers d'étudiants se lancent dans les recherches
d'un appartement, l'étude constate des disparités importantes entre les
métropoles et pôles universitaires et les agglomérations plus petites.
Sans surprise les loyers parisiens sont les plus élevés, il faudra
compter entre 723 et 1000 pour un 40m2. Lyon se classe également parmi
les villes les plus chères avec un loyer moyen de 525 pour 37m2 ; un
montant qui se stabilise depuis 2013. A l'exception de Paris, d'autres
villes du nord de la France sont très prisées des étudiants et par
conséquent les loyers plus élevés. C'est le cas de Lille, Montreuil et
Le Kremlin-Bicêtre.
Globalement le rapport montre que les loyers sont plutôt à la baisse en
raison de facteurs économiques qui poussent les étudiants à rester chez
leurs parents. La peur de la précarité pousse les étudiants qui ont un
logement à ne pas en changer. Par conséquent la rotation des logements
est plus faible, et il y a plus de logements disponibles et donc une
baisse des prix.
On s'en foot, se loger n'est pas d'intérêt général, le foot oui! Collomb l'a bien compris, l'argent public doit aller au foot pas au logement!
Signaler Répondre