Si pour l'instant leur cause demeure inconnue, l'Insa a tenu à préciser
dans un communiqué repris par le Journal de l'Environnement :
"Aujourd'hui, aucune origine professionnelle n'est avérée".
Les rumeurs ont toutefois enflé sur le sujet ces dernières semaines
puisqu'un document interne à un autre laboratoire (ILM) effectuant des
recherches dans le Centre lyonnais de microscopie (CLYM) demandait au
personnel de l'ILM "de suspendre, dès à présent et jusqu'à nouvel ordre,
les manipulations prévues au CLYM" avec notamment en cause la
microscopie électronique pouvant générer des rayonnements ionisants. Une
information démentie dans le communiqué de l'Insa. "Les microscopes
électroniques hébergés au laboratoire MATEIS n'émettent pas de
rayonnements ionisants pouvant les incriminer dans les cas de cancers
détectés parmi les personnels", a précisé l'Institut national des
sciences appliquées de Lyon. Affaire à suivre.
la fréquence élevée des cancers professionnels démontre que les mesures de prévention ne sont pas suffisamment prises en compte. voir : La prévention des cancers professionnels : http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=69&dossid=209
Signaler RépondreMême si il y'a accumulation de victime de cancer à l'insa , il sera très difficile de prouvé que la cause est d'origine professionnel. Le cancer à des causes multifactoriels . A part un flagrant délit du crabe , l'insa ne sera pas inquiété.
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