Elle avait été touchée par une sclérose en plaque après avoir été
vaccinée contre l'hépatite B. Elle avait reçu les premières injections
en 1991 et avait dû partir à la retraite anticipée en 1997 à cause de la
maladie.
En 2003, elle avait demandé réparation pour les préjudices causés. Une
décision qui avait été refusée. Mais en appel, en mai 2012, la Cour
administrative de Nancy avait ainsi rendu une première décision
ordonnant une expertise des préjudices subis par l'ex-infirmière.
Mercredi, l'Etat a été condamné par la Cour administrative d'appel de
Nancy, à rembourser l'ensemble des frais de santé et de matériel
spécialisé, celles liées à la perte d'autonomie, à l'assistance d'une
tierce personne ou d'adaptation du logement.
Cette somme 2,4 millions d'euros constituerait un nouveau record
d'indemnisation pour ce genre d'affaire.
a croire que les commentateurs de droite protègent les intérèts des grands labos
Signaler RépondreEt le labo ne paye rien ..
Signaler Répondredit moi que c'est de l'humour ?
Signaler RépondreEncore une fois le gouvernement Hollande régle les factures de la droite...
Signaler RépondreFelicitation
Signaler RépondreBravo madame l'état et la justice ne respectent pas toujours les humains. C'est bien dommage .
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