Le tribunal correctionnel de Paris a finalement estimé que les
poursuites engagées par l'association étaient nulles.
En octobre 2012, Alexis Dubruel avait demandé la récusation du juge
Albert Lévy car son nom sonnait juif et qu'il pourrait ne pas être
impartial dans une affaire où le parent d'une prévenue se nommait Moïse.
"Le papa de la personne (...) se prénomme Moïse", or "la première page
de la notice du mot Moïse sur le site Wikipédia mentionne que ce mot est
selon la tradition, le fondateur de la religion juive", avait notamment
fait remarquer l'avocat pour expliquer sa demande.
Le tribunal a mis en avant le fait que le caractère public de
l'infraction de complicité de provocation à la discrimination raciale
reprochée à Alexis Dubruel ne pouvait être retenu.
Radié du barreau de Lyon, l'avocat s'est de nouveau défendu d'avoir
prononcé des propos antisémites. Il a d'ailleurs formé un pourvoi en
cassation.
Votre article est tout sauf clair.
Signaler RépondreMerci de mettre en lien les pièces à disposition.
Dans ce genre de combat, gagner n'est pas une fin en soi.
Signaler RépondreLe plus important est de semer ce que les américains appellent le FUD (Fear, Uncertainty, Doubt = peur, risque hasardeux et doute) chez l'adversaire.
Si en plus l'adversaire est devenu dépressif, ruiné, divorcé, isolé, malade d'un ulcère et paranoiaque, c'est tout bénéfice. Il est HS et les autres y réfléchiront à 2 fois, le terrorisme intellectuel n'en demande pas plus.
Bonne nouvelle.
Signaler RépondreCes associations dites "antiracistes" savent pertinemment que la plupart de leurs attaques en Justice sont nulles et non avenues. Mais ils veulent asphyxier toute personne qu'ils suspectent de racisme, peu importe que la personne en question soit réellement innocente.