Et pour cause, l'association fait face à des charges de près de 300 000
euros par an pour 1800 m² au troisième étage du Pôle de commerce et de
loisirs. Des charges trop élevées, malgré les 70 000 entrées
enregistrées l'année passée.
Selon le Progrès, plusieurs pistes sont
ainsi envisagées pour réduire les dépenses. D'abord réduire la surface
de location. 90 m² ont déjà été rendus au propriétaire de Confluence,
Unibail, en attendant d'en rendre à nouveau 90 m² suite au départ de la
boutique Jeux Descartes. Une vingtaine de personnes travaillent
actuellement pour l'association. Aucune réduction d'effectif n'est pour
l'instant actée.
Mais la Ville de Lyon va aussi mettre la main à la poche. La
municipalité s'est engagée à verser chaque année 150 000 euros jusqu'en
2017 pour venir en aide à l'association. Le Ludopole pourrait alors
recevoir des enfants le vendredi après-midi dans le cadre de sorties
proposées lors des activités périscolaires.
J'ai toujours adoré le Ludopole, cet endroit est génial ! Ce serait vraiment dommage qu'il ferme.
Signaler RépondreAu moins quai des Ludes c'était moins cher et ça marchait ! Et comme Collomb veut a tout prix que sa confluence fonctionne il va faire payer la ville, grosso modo ce sont les lyonnais qui vont financer une association (pour une association pas de pb pour moi) mais pour que l'association paye une boîte privée (unibail) le loyer de son activité moi il y a quelque chose qui me choque et je comprend pas les lyonnais le général avait dit les français sont des veaux je pense que c'est valable aussi pour Lyon ! ! ! !
Signaler Répondrec'était bien mieux du temps de Quai des Ludes , mais ça c'était avant les problèmes de Colon
Signaler Répondre150000€ par an de fonds publics pour soutenir un lieu dans un centre commercial géré par une association alors qu'il y a une maison des jeunes dans le quartier c'est du délire, de la mégalomanie, mettez le à la retraite ce maire qui détourne l'argent de la ville à des fins privées...
Signaler RépondreJe trouve ce lieu trop cher donc je n y est jamais emené mes filles.
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