Les deux ex-leaders de l'ultra-droite lyonnaise restent pourtant surveillés de près et ils font l'objet, selon l'AFP, d'une convocation devant la police judiciaire de Lyon cette semaine. Les deux élus seraient suspectés d'avoir tenté de reformer un groupuscule nationaliste si l'on en croit l'information judiciaire ouverte en juin par le parquet de Lyon pour "participation au maintien ou reconstitution d'association ou groupement dissous".
Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti, habitués des actions coup-de-poing puis des gardes à vue, ont récemment fait parler d'eux lors des municipales. Avec leur liste Vénissieux fait Front, ils avaient obtenu deux élus au second tour, provoquant l'ire du préfet du Rhône.
Ce dernier, ainsi que le candidat UMP Christophe Girard, avait déposé des recours contre leur liste où figuraient des personnes pas mises au courant.
Et cette semaine, le rapporteur public du tribunal administratif de Lyon a recommandé d'invalider totalement ou partiellement l'élection à Vénissieux. Les jours d'Yvan Benedetti au conseil municipal de la ville du Grand Lyon semblent donc comptés.
Pauvres petits nostalgiques de la collaboration et de Petain que la justice vient embeter...
Signaler Répondreet ben bien sûr ! ce sont de gentils grands garçons dont même le FN ne veut plus ! pauvres choux !
Signaler Répondre"voie de démocratie" je vous invite à vous renseigner sur la situation à vénissieux (par ailleurs l'affaire est devant les tribunaux)
Signaler RépondreSelon Jean-François Carenco, «19 des 49 personnes candidates sur cette liste ont été trompées. Elles pensaient en effet apporter un simple soutien au FN» dont Yvan Benedetti a été exclu.
vive la """""démocratie""" !
Ils ont accéder par la voie de la démocratie à la mairie; il ne s'agit pas d'une fraude aux alloc ou de l'agression d'un gamin de 10 ans à Vaut en Velin...contre qui ces" ex identitaire" fier de leur pays se battent. Ils ont raison de défendre nos valeurs et le font comme ils le peuvent; comment l'état laisse l'organisation de la LDJ impuni malgré le nombre de plainte fait contre eux et de l'autre côté ce même état décide de dissoudre les identitaires? ou est l'égalité et la justice? Ou est la démocratie? Les gens qui se battent contre le fascisme devrait réfléchir à deux fois avant de voter UMPS car eux sont les premiers à vouloir interdire la montée en puissance de jeune qui accède aux places de conseiller et autre par la voie du scrutin donc légalement !!! Ils sont également les premiers à interdire les spectacles d'un humoriste parce que ce dernier dénonce ce dont on ne peux parler...ils sont les champions du monde de la suppression des "tweets" avec une augmentation de 80% depuis l'ère Holande...alors qui est le fasciste dans l'histoire?
Signaler RépondrePour rappel, la France et ces intérêts se trouve au nord de la méditerranée et pas à l'est...
On dirait... sinon comment expliquez-vous l'incapacité des services de renseignement à coincer ces 3 terroristes ?
Signaler RépondreFaut-il vous rappeler le déroulement de l'affaire Merah, quand certains millieux d'extrême droite étaient surveillés alors que la nébuleuse islamique ne l'était pas ? Ou le fiasco de l'affaire du tireur de Bruxelles ?
pas beaucoup de différences entre djihadiste et identitaire finalement : une seule méthode, la violence
Signaler Répondresurveill ou sur coute !!!!
Signaler RépondreLa police n'est pas capable de faire deux choses à la fois, il est bizarre votre monde...
Signaler RépondrePendant ce temps les djihadistes rentrent tranquilles, et la police de Cazeneuve est incapable de les incarcérer... où sont vos priorités à gauche ???
Signaler Répondreje ne comprends pas que ces personnes ne soient pas déclarées inéligibles !
Signaler RépondreIls sont surveillés comme les djihadistes
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