Le maire PC de Givors, Martial Passi, va en tout cas saisir le Conseil
constitutionnel suite à des irrégularités constatées le 28 septembre
dernier en préfecture.
Selon lui, un grand électeur a réussi à voter deux fois et des personnes
ont notamment été empêchées de voter car leurs noms figuraient déjà sur
les listes d'émargement. Autre point noir que devra analyser le Conseil
constitutionnel, la distribution de tracts devant le bâtiment
administratif du 3e arrondissement de Lyon qui accueillait les bureaux
de vote.
A noter que la requête de l'élu communiste n'a pas de caractère suspensif. Le Conseil constitutionnel peut soit rejeter la contestation et valider l'élection, soit prononcer l'annulation de l'élection, soit réformer les résultats et proclamer élu un autre candidat. Ses décisions sont s'imposent à tous et sont insusceptibles de recours.
Martial Passi, candidat de la liste Front de Gauche, avait obtenu 9,28%
des suffrages. Il n'était donc qu'à 5 voix d'être élu sénateur et
d'empêcher l'UMP de rafler 4 sièges au palais du Luxembourg. Les
communistes avaient ainsi perdu celui de Guy Fischer, sénateur rhodanien
depuis 1995.
Je le comprend, moi aussi à sa place j'aurais les boules d'être passé à 2 doigts de ça:
Signaler Répondrehttp://www.lexpress.fr/actualite/politique/senat-un-train-de-vie-de-premiere-classe_1578890.html
Tu m'étonne, il doit l'avoir sacrement mauvaise d'être passé à côté de ça:
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C'est vrai que c'est frustrant de rater 13000€ par mois de salaire et une vue sur les jardins du Luxembourg...
Signaler RépondrePour un communiste en plus !
En même temps, un coco en moins au sénat, c'est pas plus mal !
Signaler RépondreEncore une manipulation de Mercier. Ça sent la fin des magouilles Collomb Mercier
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