Selon le mensuel, un de leurs journalistes a été auditionné comme témoin suite à la garde à vue de quatre de ses sources dans l'affaire des policiers soupçonnés de corruption à Vénissieux. Ces mêmes garde à vue résulteraient d'interpellations suite à une surveillance de la rencontre en avril entre le journaliste, les sources et un homme, témoin sous X dans l'affaire.
"Quand nous avons reçu la convocation, nous sommes tombés des nues", a déclaré Didier Maïsto, directeur de la publication à l'AFP. "Face à ce genre de dérives, notre devoir est de dévoiler les faits. Le secret des sources n'est pas une coquetterie de journalistes."
Le parquet explique de son côté que l'enquête visait à déterminer si des protagonistes impliqués ou gravitant autour du dossier avaient pu se livrer à des "pressions pour l'amener à témoigner dans un certain sens". "Le journaliste a été entendu d'ailleurs comme témoin, pour attester de la réalité de faits auxquels il a assisté et non pour ses sources."
Ce n'est pas la première fois que la police se paye la presse. Déjà lors des débordements lors des matchs de l'Algérie au mondial cet été, Albert Doutre avait évincé Lyon Capitale de sa conférence, sous prétexte qu'ils avaient relayé la vidéo (trafiquée) où l'on voyait un policier frapper une personne.
Et je vois que c'était ce même journaliste qui s'était fait évincer par le chef de la police : Slim Mazni.
Signaler RépondreMonsieur le rédacteur en chef et dirigeants de ce journal, il serait peut-être intéressant de vous poser quelques questions, et contrôler rigoureusement le travail avant de vous faire passer pour une victime de violation du secret des sources dans toute la presse nationale !
Les journalistes ont un pouvoir extrêmement important, vous devez en être dignes.
Si le secret des sources n'est pas "une coquetterie" de la presse et que vous estimez qu'il y a violation du secret des sources, pourquoi ne souhaitez-vous pas déposer plainte ???!!
Signaler RépondreVous dites que c'est une grave atteinte, je ne comprends pas...
Je commence vraiment à me rendre compte que vous êtes un journal à scandale prêt à raconter n'importe quoi pour vendre et faire parler de vous. Dommage.
les agissements de ces hommes sont en adéquation avec leur environnement ...plus rien ne m'étonne avec ceux qui ont un peu de pouvoir.
Signaler RépondreConnaissant un peu Albert Dourtre, il doit être fou furieux, il fait partie de ces catégories d’homme qui ne doute de rien, il fonctionne à l’ancienne c’est-à-dire a l’intimidation avec ces réseaux s’appuyant sur ceux-ci pour écraser le moindre obstacle et toujours prêt à monter d’un cran s’ill sent une résistance.
Signaler RépondreEt parfois cela dérape !....
C’est un homme je pense intègre, mais ces méthodes sont limite.
Il n’a pas compris que les medias ont évolués et que les accords du ‘’donnant donnant ‘’ avec la presse ne tiens plus avec l’internet dont les réseaux sociaux.
Cette affaire va lui coller aux basques et cela restera gravé dans le marbre du digital.
Qu’il se remette en question et prenne un peu plus en considération les collaborateurs qui l’entourent.
Département bananier! Dans un pays anglo saxon les responsables d'un bout à l'autre seraient chez eux sans traitement en attendant leur procès!
Signaler RépondreAvec son comparse Carenco, ils arrivent quasiment au même niveau d'incompétence que Belkacem, c'est peu dire.
Signaler RépondreCet homme fait peur ... mais est il pour autant efficace ?
Signaler RépondreCe n'est pas démontré
de ces gens là, on peut s'attendre à tout, surtout à LYON où c'est la déma-crottie poutinienne qui règne
Signaler Répondreou c'est encore "celui là" qui trait les opposants du stade à décines de "groupuscule de tarés" ...
Signaler Répondrealors que son poste devrait assurer au citoyen toute la considération qui lui est dûe, alors que "celui là" fait de la politique, alors qu'il n'est que l'exécutif
C'est "celui là" qui s'était entendu avec le préfet carenco pour mentir à outrance afin d'exterminer les éléphantes
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