Ce sont donc des présidents de fédération inquiets qui étaient réunis ce
lundi matin afin de présenter un plan d'urgence pour le BTP. "Il s'agit
de sauver un secteur et son modèle économique et social", explique
Jacques Blanchet, président de la FFB Région Rhône-Alpes, mettant en
avant des niveaux d'activité historiquement bas. Rien que dans le Rhône,
le recul des mises en chantier de logements a diminué de 37% sur un an ;
il est de -22,5% en moyenne sur la région avec 33 000 logements
commencés ces derniers mois.
Les carnets de commandes ont donc du mal à se remplir, et ce malgré les
mesures du plan de relance du logement annoncé l'été dernier par le
gouvernement qui selon la fédération régional ne pourront produire
d'effets avant un délai de 12 à 18 mois. Les présidents des différentes
fédérations proposeront donc dans les prochains jours une série de 17
propositions auprès des services de l'État, du Conseil Régional, du
Comité des Banques et des collectivités locales, et à mettre en place
dans les plus brefs délais. "Ces 17 mesures, on va aller les présenter à
tous nos interlocuteurs pour essayer de trouver point par point des
accords sur le fait de relancer l'activité. On parle notamment du
remboursement de la TVA aux collectivités", poursuit Jacques Blanchet.
A noter que la Fédération Française du Bâtiment Rhône-Alpes a déjà
rendez-vous avec le préfet de Région, Jean-François Carenco. En plus des
inquiétudes du secteur, il s'agira d'évoquer les chantiers arrêtés en
Rhône-Alpes, une problématique importante dans la relance du secteur.
"Nous sommes combatifs et nous voulons trouver des solutions
maintenant", a résumé président de la FFB Région Rhône-Alpes.
Oh mais c'est la tour Lucius Munatius Plancus ?II
Signaler RépondreNon seulement , il y a moins de chantiers , mais le peu qui restent sont pris par des entreprises qui utilisent des travailleurs détachés .
Signaler RépondreRien d'illégal , mais sur un chantier public payé avec nos impôts ,les donneurs d'ordre ferait bien d'en limiter l'usage ...
C'est pour une autre raison, quel lieux de culte d’abord, il y a bien assez d’églises en France.
Signaler RépondreMais je vois de quel lieux de cultes tu parle,
Ils suffit de voir les centaines de constructions de lieux de cultes que l'on stoppe en cours de construction car les illuminés d’extrême droite y opposent leur veto.
Signaler RépondreEn période de crise (chômage) que traverse notre pays,pouvons-nous accorder de l'importance aux desiderata de cette frange d’excités haineux ?
Des milliers de postes seraient à pourvoir sur ces constructions,si nous laissions hurler à la mort ces hyènes enragées sans leur prêter attention !
la liaison lyon-turin est une aberration économique, c'est un suicide collectif si l'on signe cela , même la cour des comptes l'a condamné en disant que c'était de la pure folie de le faire.
Signaler RépondrePar contre concernant les barrages et ceux que je connais il me semble que tout le monde y a retrouvé son compte ensuite et que ça a dopé le tourisme, lécologie et la qualité de vie des gens (monteynard, serre ponçon etc ....)
en mme temps si les maires ne refusaient pas abusivement les permis de construire, on pourrait lancer des chantiers mais ils prfrent rester au chaud dans leur fauteuils que de participer la relance !
Signaler RépondreC'est certain que si l'on abandonne le barrage de Sivens, l’aéroport de Nantes la liaison Lyon Turin et autre grandes infrastructures, on risque pas de créer des emplois.
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