Mercredi 19 Novembre 2014 à 10h46
Congrès du FN à Lyon : Gollnisch répond aux anciens combattants
Bruno Gollnisch - LyonMag
Bruno Gollnisch n'a pas apprécié que l'ANACR (Association nationale des anciens combattants et amis de la résistance) ait dénoncé la tenue à Lyon, "capitale de la résistance", du congrès du Front National les 29 et 30 novembre.
"Je ne connais pas les titres exacts des membres de cette organisation
notoirement connue pour les sympathies communistes de ses fondateurs,
mais, si respectables que soient certains, nous les laisserons à leurs
grandes leçons de "démocratie". Nous nous rappelons trop les atrocités
de la guerre ou de l'épuration aveugle, pour vouloir rouvrir les plaies
du passé", s'emporte l'élu régional.
Bruno Gollnisch termine son communiqué en se revendiquant être "la vraie
Résistance française" face "aux manoeuvres, persécutions, diffamations
et agressions de toute nature".
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gollnisch
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Tu devrais être bien plus respectueux avec les communistes
Signaler RépondreParce que c'est grâce à eux que tu peux aujourd'hui jouir de ta liberté.
Dehors.... mais tu es ici chez nous mon p'tit bonhomme!
Signaler RépondreLa république n'est pas une grande idée de la droite, qui lui préfère largement des régimes plus totalitaires
pseudo suffira....
Signaler RépondreCes gens là n'ont rien des résistants
Vous n'auriez pas cité son nom qu'on l'aurait reconnu cette rombière.
Signaler RépondreListe pompée sur :
Signaler Répondrehttp://www.nationspresse.info/fn/aujourdhui-comme-hier-la-resistance-cest-le-front-national
Que ne feraient-il pas pour défendre le Front National.
Les résistants au FN ?
Un point de détail de l'histoire voyons...
Rions un peu :
Signaler RépondreExemple 1 : Maitre jean-Baptiste Biaggi
" Il s'engage successivement à l'Action française, dans la Résistance, puis est gaulliste avant de s'associer à l'OAS, puis plus tard au Front national.
Plus tard, quand il est étudiant à la Faculté de droit de Paris, il rencontre Jacques Maurras et devient ensuite délégué étudiant du mouvement royaliste et à ce titre, fait le discours de bienvenue de Charles Maurras qui, tous les ans, venait présider le banquet des étudiants d'Action française.1
En 2002, dans un entretien à la revue Aventures de l'Histoire, numéro 12, il fait la lumière sur son engagement résistant, ce qu'il lie avec l'enseignement de l'Action française : « Nous avons eu l'instinct de la Résistance, car Maurras nous avait parfaitement formés. Les Allemands étaient chez nous; ils ne devaient pas y rester. Donc il fallait les chasser. C'est ce à quoi nous nous sommes employés. Nous avons tenté de toutes nos forces, de chasser les envahisseurs. Ce dont nous avions conscience, c'est de l'intérêt supérieur du pays. C'est ça, le fond de la doctrine maurrassienne. Que Maurras ait eu une autre méthode que nous pour remédier à la crise, c'est conjoncturel. Je le dis très franchement et même fièrement: " j'ai toujours été maurrassien ; je le suis toujours resté ; et à mon âge, je crois bien devoir vous dire que je le resterai toujours. La Résistance était un réflexe patriotique. L'école politique qui enseignait le patriotisme au plus haut degré, c'était l'Action française. »
Biaggi se réclame donc fièrement de Charles Maurras. Bien.
Qui est Charles Maurras ?
" Écrivain provençal appartenant au Félibrige et agnostique dans sa jeunesse, il se rapproche ensuite des catholiques et dirige le journal L'Action française, fer de lance du mouvement Action française, autour de Léon Daudet, Jacques Bainville, et Maurice Pujo. Nationaliste et contre-révolutionnaire, l'Action française prône alors une monarchie héréditaire, antiparlementaire et décentralisée, mais également un antisémitisme d'État et devient le principal mouvement intellectuel et politique d'extrême droite sous la Troisième République.
Maurras soutint le régime de Vichy, ce qui lui valut d'être condamné pour intelligence avec l'ennemi à la réclusion criminelle à perpétuité et à la dégradation nationale, le 28 janvier 1945. De cette dernière condamnation découla son exclusion automatique de l'Académie française qui attendit cependant son décès pour procéder à son remplacement. Il meurt en 1952."
Il faisait partie de l'Action française. Bien.
Qu'est-ce que l'action Française ?
" Ce journal était alors l'organe officiel du mouvement de l'Action française. Il s'agissait d'un quotidien nationaliste, monarchiste, antidreyfusard et antisémite.
L’Action française devient monarchiste sous l'influence de Charles Maurras et de sa doctrine du nationalisme intégral, dite également « maurassisme ». Ainsi, d’une rhétorique nationaliste, républicaine et antisémite, l’AF évolue vers une idéologie nationaliste, antisémite, contre-révolutionnaire, antirépublicaine et anti-individualiste, sur fond de positivisme et de transformisme
Le quotidien mena également une campagne infatigable contre le régime soviétique, le communisme, les Juifs et la franc-maçonnerie.
Le journal, qui envoyait des milliers d'abonnements gratuits, était fortement déficitaire et faisait régulièrement appel à des souscriptions pour lutter « contre l'or juif »5.
Hostiles au pangermanisme, et à l'Allemagne de façon générale, certains des collaborateurs de l'Action française ont critiqué la politique allemande durant les années 1930. En 1938, ne voulant pas d'une nouvelle guerre, l'Action française apporte son soutien aux accords de Munich, puis Maurras félicite Arthur Neville Chamberlain pour avoir négocié avec Hitler.
Après l'armistice de 1940, le journal se replie à Limoges, puis à Lyon en octobre 1940. La sympathie de Maurras et de ses proches pour le régime de Vichy en fait un des piliers idéologiques du nouveau régime. Après l'occupation de la totalité du pays en novembre 1942, l'alignement sur la puissance occupante, l'Allemagne nazie, est plus sensible.
Plusieurs journalistes sont impliqués dans la collaboration avec les nazis. Le journal est violemment hostile aux résistants, qui sont appelés les « terroristes ». Maurras appelle à exécuter les résistants et les membres de leurs familles.
À la Libération de la France le quotidien est interdit pour collaboration, et ses principaux animateurs (Charles Maurras et Maurice Pujo) "
On aura compris ce qui motivait ces pseudos résistants...
Au suivant ?
La suite
Signaler RépondreProfesseur Pierre ROUTHIER (Haute-Marne), ancien élève de l’École normale supérieure, professeur émérite de géologie à l’université Pierre et Marie-Curie, chevalier de la Légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945.
M. Albert SAUVANET (Hérault), officier de cavalerie (ER), ancien cadre supérieur des industries mécaniques et métallurgiques, officier de la Légion d’honneur (5 citations, 2 blessures), médaille des évadés, combattant volontaire de la Résistance, chevalier du Mérite agricole.
Lt-Colonel (H) Marcel TIBERGHIEN (Nord), ancien de Jeunesse et Montagne (centre-école, maquis Renaud (Thollon) et CR6), puis Rhin-et-Danube, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945 (2 citations).
M. Pierre TINSEAUX (Var), engagé volontaire 1939-1945, ancien de la division Leclerc, conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Pierre SAILLY, candidat aux municipales de Saint-Cyr-sur-Mer, ancien déporté à Buchenwald, le Struthof et Dachau.
Pierre SERGENT, résistant dans le réseau Vélite-Thermopyles avant de rejoindre un maquis en Sologne, ancien député, ancien officier.
Jean VALETTE d’OSIA (1899-2000), G de C.A. (C.R.) commandant du 27e B.C.A. de 40 à 42, chef militaire de Haute-Savoie en 43 jusqu’à son arrestation en septembre 43, évadé puis passé à Londres et Alger en 44. Grand Croix de la Légion d’honneur, Croix de guerre 14-18, T.O.E., 39-45., fondateur du maquis des Glières, grand-croix de la Légion d’honneur.
Docteur Pierre WEBER (Meurthe-et-Moselle), médecin ER, docteur en médecine, lauréat de l’Académie de médecine, ancien maire de Nancy, conseiller général (H) de Nancy (de 1945 à 1970), membre honoraire du Parlement (1958 à 1978), ancien membre du Conseil de l’Europe, médaille de la Résistance.
Henri YRISSOU, inspecteur général des Finances honoraire, commandeur de la Légion d’honneur, médaille de la Résistance.
Qu'ont en commun tous ces gens ?
Ils ont fait partie du FN.
Alors vos leçons de Résistance, monsieur le bobo fils de 68ards...
A voir sur Arte+7 (replay) le film play.
Signaler RépondreOn y voit clochette défendre la délinquance sous prétexte de lutter contre le racisme. Edifiant.
Extrait avec clochette : http://vk.com/video241585116_170675524?hash=f2dbb02b8a3ba380
Maître Jean-Baptiste BIAGGI (Paris), avocat, ancien député de Paris, ancien conseiller régional de Corse, ancien maire de Cagnano (Corse), officier de la Légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945, médaille de la Résistance.
Signaler RépondreMlle Rolande BIRGY (Haute-Savoie), ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante (Réseau Valette d’Osia), croix du combattant volontaire de la Résistance, Yad-Waschem (titre de « Juste » décerné par l’État d’Israël, en 1984).
Jean-Charles BLOCH, croix de guerre, président du Comité des Français juifs.
M. Roger BLOCH (Var), commerçant (ER), croix du combattant 1939-1945, médaille des opérations de sécurité en Algérie, reconnaissance de la Nation pour faits exceptionnels, ancien conseiller municipal de Toulon.
Nicole de BOISGUILBERT, médaille de la Résistance.
M. Claude BRABANT (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (H) d’Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole.
M. Jean-Louis de CAMARET (Vaucluse), médaille militaire, croix de guerre 39-45 avec citations, croix du combattant volontaire de la Résistance, ancien membre des réseaux de la France combattante et des FFI, médaille d’argent de la Ville de Paris.
M. Michel de CAMARET, ambassadeur de France, député Front National au Parlement européen (1984-1987), compagnon de la Libération.
Michel CARAGE, commandeur de la Légion d’honneur, compagnon de la Libération, croix de guerre 39/45 (6 citations), médaille coloniale avec agrafes « AFL » « Fezzan-Tripolitaine » « Tunisie », médaille des blessés, médaille des services volontaires dans la France libre, Presidential Unit Citation (USA), officier du Nicham Iftikar (Tunisie).
Colonel (ER) Maurice CATALAN (Charente-Maritime), certificat national d’appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant et diverses décorations étrangères.
M. Roger CHADUC (Haute-Loire), retraité des Finances, combattant volontaire de la Résistance.
Albert CHAMBON, ancien ambassadeur de France, grand officier de la Légion d’honneur, médaille de la Résistance, ancien déporté.
Commandant CHALLE, commandeur de la Légion d’honneur (dix citations), pilote à Normandie-Niémen.
Capitaine de Vaisseau (H) Pierre CHESNAIS (Var), officier de la Légion d’honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre.
Gilbert DEVÈZE, grande figure de la Résistance qui rejoint Londres en 1940.
Jacques DORÉ, croix de guerre, médaille des déportés, médaille des évadés, croix du combattant de la Résistance, croix de la France libre.
Pierre DUFOUR, engagé volontaire à la 2e DB.
Ghislaine de FIQUELMONT, première Française entrée à Metz le 19 novembre 1944, dans les rangs du XXe CA américain.
M. Edouard FONTANA (Val-de-Marne), président de chambre (H) à la cour d’appel de Paris, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre.
M. Édouard FRÉDÉRIC-DUPONT, croix de guerre 1939-1945, médaille de la Résistance.
Robert HEMMERDINGER, médaillé de la Résistance, médaille de la France libre, croix de guerre, président du Comité national des Français juifs, commandeur de la Légion d’honneur, grand officier de l’ordre national du Mérite.
M. Roger HOLEINDRE (Seine-Saint-Denis), résistant, écrivain, grand reporter, ancien député de Seine-Saint-Denis, conseiller régional d’Ile de France, médaille militaire, croix de guerre des T.O.E., croix de la valeur militaire.
M. Robert JACOB dit LUZIE (Corse), officier ER, officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite, médaille militaire, croix de guerre (10 citations).
M. Serge JEANNERET, croix de guerre 1939-1945, croix du combattant volontaire de la Résistance.
M. Augustin JORDAN (Paris), ancien ambassadeur, commandeur de la Légion d’honneur, compagnon de la Libération, croix de guerre 1939-1945 (4 citations), membre des premiers SAS, Military Cross (GB), commandeur du Mérite allemand.
Jacques LAFAY, officier de la Légion d’honneur, croix de guerre 39-45 ( 5 citations), croix du combattant volontaire de la Résistance.
M. Robert LIMONDIN (Seine-Saint-Denis), ancien combattant 1939-1945, prisonnier de guerre (1940-1945) en Prusse orientale.
M. Francis MASSART (Gironde), combattant volontaire de la Résistance, interné-résistant, évadé, croix de guerre 1939-1945, chevalier des palmes académiques.
Chef de bataillon (H) Charles MET (Sarthe), ancien président du directoire de la Société laitière de Normandie, vice-président du Cercle national des combattants, commandeur de la Légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E., valeur militaire.
M. Jean NICOLET (Hauts-de-Seine), retraité de la police nationale, conciliateur judiciaire (H) de la cour d’appel de Paris, médaille d’honneur de la police nationale, croix du combattant 1939-1945, médaille commémorative 1939-1945.
Général (CR) Georges NOËL (Yvelines), de l’armée de terre, grand invalide de guerre, officier de la Légion d’honneur, médaille militaire (1944), commandeur de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945, croix de la valeur militaire.
Professeur Jacques ROBICHEZ, professeur (H) à la Sorbonne, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945.
Professeur Pierre ROUT
Très crédible Euh.
Signaler RépondreComment pourrait-on croire que Euh soit sincèrement outré que des communistes ou des socialistes aient pactisé avec les Nazis ? Après tout, ils ont tendu la main à leur ennemi au nom de la protection de leur pays, non ?
C'est ce que vous disiez de votre courageux ami Pétain que vous avez, lui, si bien compris et excusé...
A d'autres.
" Gollnish en défend un autre ", celui-la :
Signaler Répondre" Le 11 octobre 2004, Bruno Gollnisch donne une conférence de presse à Lyon, au local de son parti, le Front National. Sujet : le rapport de la Commission Rousso sur le racisme et le négationnisme au sein de l’Université Jean Moulin-Lyon III. Là, tout en prenant fait et cause pour les négationnistes Henri Roques, Robert Faurisson et Jean Plantin, il présente les chambres à gaz hitlériennes comme une simple hypothèse sur laquelle les historiens n’auraient pas encore porté de conclusions définitives. « Quant à la façon dont les gens sont morts, » dit-il « le débat doit avoir lieu ». « Je pense, » insiste-t-il, « qu’il faut laisser les historiens en discuter. Et cette discussion devrait être libre » .Propos feutrés, mais suffisants, dans un lieu où la cause était entendue d’avance. Un conseiller régional FN n’a-t-il pas déclaré, lors de la même soirée : « Il faut savoir faire la différence entre la mémoire vécue et la mémoire rapportée. Moi, j’ai vu les chambres à gaz, je les ai même utilisées. Elles ont servi à désinfecter des milliers de prisonniers, pouilleux ou atteints du typhus . » ( Le Monde, 13.10.04 ). "
Fopaldire ou l'Art du hors-sujet... décidément la critique du soldat nazi en a vexé plus d'un.
Mais après tout, il ne faut pas en vouloir à Gollnisch, il avait juste voulu rendre hommage aux inoffensifs soldats nazis qui ne portaient qu'un brassard... ou qu'un pin's.
Et parfois même un simple casque à pointe, c'est dire comme ils étaient tout mi-mi...
Ces anciens combattants de la dernière heure et clochette défendent ce modèle de société :
Signaler Répondrehttp://www.ledauphine.com/drome/2014/11/20/montelimar-il-arrache-une-cigarette-par-convictions-religieuses
Gollnish en défend un autre.
Si vous parlez des socialistes collaborateurs, des communistes qui ont pactisé avec les nazis... ces partis sont bien en place dans le paysage politique français.
Signaler RépondreEntre 39 et 45 il y avait bien peu de Résistants qui étaient au courant et qui se souciainet des camps...
Signaler RépondreRésumer la 2è guerre mondiale à ça est idiot. Désolé...
Le réveil d'hervé. Celui qui voit de la propagande islamique partout.
Signaler RépondreNon vraiment, je vous la conseille cette émission.
Âmes sensibles s'abstenir... la vôtre sûrement.
JMLP ? Vous êtes sûr ? celui qui a dit que la déportation était un " point de détail ?
Signaler RépondreCelui dont le parti est né sur les cendres de groupuscules adorateurs du nazisme et d'extrême droite ?
ça alors !
Lesquels? quand? comment ?
Signaler RépondreIl y a des informations dont vous n'aurez jamais connaissance dans la vraie vie.
Signaler RépondreA moins que ces informations ne vous gênent et bousculent vos certitudes ?
Prenez vous en donc aux journalistes d'investigation qui font mieux que se balader dans ce que vous croyez être la " vraie vie "
En même temps, je comprends. Il n'y a pas si longtemps, vous découvriez l'existence de Beaubourg, de l'IMA, et du Louvres.
Si elle sort cela risque d'être un gros choc pour elle.
Signaler RépondreNon finalement qu'elle reste chez elle à nous commenter les émissions télé et la propagande islamique, c'est plus drôle pour nous quand on rentre du boulot de lire ses inepties.
tu sais Varan, il y a d'autres chaines de TV que TF1 ...
Signaler RépondreMort de Rire !
Signaler Répondreclochette, la ménagère de 50 ans, qui nous abreuve de ses commentaires sur des émissions télévisuelles.
Sors clochette dans la vraie vie au lieu de regarder la télé et surfer sur internet toute la journée.
C'est juste.
Signaler RépondreJMLP lui-même fut un de ces Résistants.
Alors les fils de 68ards qui se permettent de donner des leçons de Résistance doivent bien le faire rigoler...
Elle n'est pas passée sur TF1.
Signaler RépondreFaudrait peut-être songer à maîtriser la compréhension de ce que vous lisez. ça ira mieux après vous verrez.
Il y a des gens qui sont partis aider leurs frères les chrétiens d'Irak... mais les gens comme vous les traitent d'islamophobes.
Signaler RépondreVotre histoire commence en 40... racontez-nous ce qu'il s'est passé avant svp.
Signaler RépondreSi elle est pas passée, comment as-tu fais pour la voir ? Pauvre cloche........ !
Signaler RépondreIl suffit de regarder la très bonne émission ( qui ne passera jamais sur TF1) " la Peste brune ", sur les origines du Front National.
Signaler RépondreDe vrais et Nobles résistants en effet.
tiens de l'histoire-fantasy ? de la guerre-fiction ? êtes vous allé à l'école ? savez vous d’où vient le FN même ???
Signaler RépondreLe jour où d'hypothétiques "résistants", chemineront en Irak par exemple pour affronter Daesh, alors on pourra dire qu'ils n'en auront pas moins de mérite que les résistants au Nazisme.
Signaler RépondreQuand les poules auront des dents.
" Le 11 octobre 2004, Bruno Gollnisch donne une conférence de presse à Lyon, au local de son parti, le Front National. Sujet : le rapport de la Commission Rousso sur le racisme et le négationnisme au sein de l’Université Jean Moulin-Lyon III. Là, tout en prenant fait et cause pour les négationnistes Henri Roques, Robert Faurisson et Jean Plantin, il présente les chambres à gaz hitlériennes comme une simple hypothèse sur laquelle les historiens n’auraient pas encore porté de conclusions définitives. « Quant à la façon dont les gens sont morts, » dit-il « le débat doit avoir lieu ». « Je pense, » insiste-t-il, « qu’il faut laisser les historiens en discuter. Et cette discussion devrait être libre » .Propos feutrés, mais suffisants, dans un lieu où la cause était entendue d’avance. Un conseiller régional FN n’a-t-il pas déclaré, lors de la même soirée : « Il faut savoir faire la différence entre la mémoire vécue et la mémoire rapportée. Moi, j’ai vu les chambres à gaz, je les ai même utilisées. Elles ont servi à désinfecter des milliers de prisonniers, pouilleux ou atteints du typhus . » ( Le Monde, 13.10.04 ). "
Signaler RépondreAprès tout, il ne faut pas en vouloir à Gollnisch, il avait juste voulu rendre hommage aux inoffensifs soldats nazis qui ne portaient qu'un brassard... ou qu'un pin's.
Et parfois même un simple casque à pointe, c'est dire comme ils étaient tout mi-mi...
La Résistance, n'est pas le monopole de cette association, qui aussi n'est pas la seule à regrouper des Anciens Combattants . D'autres, n'ont pas critiqué que le congrès du FN, se passe à Lyon . Au sein du FN il se trouve que dans ses rangs de nombreux combattants contre le nazisme , d'anciens de la guerre d'Algérie , sans oublier l'Indochine et bien sur d'anciens des OPEX .Alors Messieurs de l'ANACR du respect pour ceux qui ont combattu comme ceux de 39-45. Merci .
Signaler RépondreLes communistes installent, à partir de juillet 1940, dans de nombreuses usines, des comités populaires dans le but d'obtenir de meilleures conditions de travail et des augmentations de salaires, de lutter contre les restrictions et de combattre l'influence des syndicats à la solde de Vichy. Ces comités donnent naissance, dans certaines entreprises, dès la fin 1940, à des groupes de destructions et de sabotages.
Signaler RépondreLe premier réseau de résistance universitaire a été fondé par les communistes Jacques Decour, Georges Politzer et Jacques Solomon en septembre 1940. Ils publient l'Université libre et La Pensée libre. Traqués par la police française, ils sont arrêtés en février 1942, torturés puis fusillés en mai 1942 au mont Valérien. Un autre contributeur de la seconde publication, le philosophe Valentin Feldman, est fusillé à son tour en juillet 1942 au même endroit.
En octobre 1940, le PCF met en place l'Organisation spéciale qui a pour but la protection des militants (colleurs d'affiches, distributeurs de tracts, militants qui prennent la parole dans les files de ménagères, sur les marchés), l'organisation d'actions de sabotage du matériel de guerre allemand, des câbles téléphoniques, la collecte des armes, la manipulation d'explosifs, etc.
Le PCF participe avec d'autres mouvements à la première grande manifestation antinazie le 11 novembre 1940 à Paris.
Fin mai - début juin 1941, le PCF organise, dans le Nord et le Pas-de-Calais une grève qui rassemble 100 000 mineurs et prive les nazis d'une partie du charbon produit. Plus de 200 mineurs sont déportés.
Le 15 mai 1941, le PCF lance un appel à la constitution d'un Front national de lutte pour la libération et l'indépendance de la France. L'expérience de la clandestinité donne alors aux communistes une longueur d'avance sur les autres mouvements. Cependant les moyens militaires des communistes sont encore très faibles, notamment à cause du refus du BCRA de lui remettre des armes.
En août 1941, le communiste Pierre Georges dit le Colonel Fabien commet le premier attentat symbolique contre un officier allemand, qui marque en quelque sorte le début de la Résistance armée de leur part. Les communistes développent rapidement un mouvement de résistance armée, les Francs-tireurs et partisans français (FTPF), dirigé par Charles Tillon. Ouverts aux non-communistes, les FTPF restent néanmoins toujours sous contrôle communiste. Il en est de même du Front national, créé par le PCF en mai 1941, mouvement de résistance politique, organisé par profession, devenu l'un des plus gros mouvements de Résistance, voire le plus gros mouvement de la Résistance française.
Les communistes jouent alors un rôle important dans la résistance à l'occupant nazi de par leur capacité d'organisation. Selon les dirigeants de la France libre, en effet, les mouvements de Résistance, hormis les Francs-tireurs et partisans (FTP) et autres résistants d'obédience communiste, étaient alors le plus souvent inorganisés et insuffisamment coordonnés.
Les résistants communistes français sortent ensuite de leur isolement et se rapprochent des autres éléments de la résistance intérieure française comme de la France libre : à la mi-1943, le Front national participe au Conseil national de la Résistance (CNR). L'organisation clandestine du PCF, dirigée par Auguste Lecœur, gagne en puissance jusqu'à prendre largement le contrôle du CNR puis du commandement national des Forces françaises de l'intérieur.
Le Groupe Manouchian (section parisienne des FTP-MOI) était pendant un temps en 1942-1943 le mouvement de Résistance armée le plus actif de France, réalisant une opération armée tous les deux jours. Ses participants étaient très déterminés et actifs car directement visés par le régime de Vichy, étant des étrangers communistes dont une majorité de juifs. Le Groupe Manouchian totalise environ 150 attentats dans la seule ville de Paris dont l’exécution du Général Julius Ritter, le responsable du STO en France. Le Groupe Manouchian devient un symbole de la Résistance française avec la publication de l'Affiche Rouge et l'exécution de la plupart de ses membres.
Le communiste Georges Guingouin forme plusieurs petits groupes à partir de 1940 puis joue un rôle important dans la formation du maquis du Limousin en 1942-1943, quoique le fonctionnement ultérieur de ce maquis soit sous contrôle mixte. Par la suite, faisant passer les règles de cloisonnement inhérentes à la clandestinité avant la discipline de parti, Guingouin conserve toujours une grande indépendance vis-à-vis des structures de son parti.
Parmi les trois principaux dirigeants du Comité d'Action Militaire (COMAC) créé par le Conseil national de la Résistance (CNR) pour diriger les Forces françaises de l'intérieur (FFI), deux étaient communistes (Pierre Villon et Maurice Kriegel-Valrimont), le troisième étant Jean de Vogüé.
Des communistes sont également présents dans des mouvements de résistance non communistes. Ce sont souvent des militants qui n'occupaient pas, avant-guerre, une place centrale dans l'appareil du parti et qui, privés de contact avec le parti clandestin, ont eu l'opportunité de rallier un autre mouvement. Le parti les a ensuite encouragés à rester dans ces organisations. Par exemple, Jean-Pierre Vernant, universitaire qui termine la guerre comme responsable FFI de 9 départements du Sud-Ouest a désavoué le pacte germano-soviétique et rejoint le mouvement Libération.
Le FN est un parti qui compte dans ses rangs un grand nombre de Résistants.
Signaler RépondrePas des résistants de la dernière heure, comme en comptait beaucoup le PC. Des vrais résistants, qui ont souffert pour lutter contre l'occupant.
Ces anciens combattants font fausse route. Ils ont complètement décrédibilisé leur association...
Si vous parlez des communistes (et de leur pacte germano-soviétique), c'est faux...
Signaler RépondreIls ne résistent pas beaucoup à l'islamisme.
le mieux a faire est de se terrer dans un bunker car vous semblez etre la proie de menaces constantes
Signaler Répondrele parti de l'URSS et maintenant le parti de l'islam.
Signaler RépondreNon le PS n'a jamais été français.
bijours Missiou vincent
Signaler Répondrele parti de l'Allemagne est maintenant le parti de la RUSSIE
Signaler RépondreNon le FN n'est pas français
oulala tous aux abris, selon mes informations des hordes d'envahisseurs doivent débarquer vers 15h40 cet apres midi
Signaler Répondreallez c'est l'heure de la sieste ;)
Il est vrai que ce parti souffre d'une coalition prête à tout pour le discréditer. Il faut à ses dirigeants et sympathisants une sacrée dose de courage pour tenir bon.
Signaler RépondreLe seul parti pro-Français est la cible de tous les moutons qui n'ont qu'une voie à suivre : la pensée universelle et ses dictats.
Nous sommes au début (????) d'une guerre larvée, qui ne dit pas son nom mais a pour but d'anéantir nos idées, notre passé et notre avenir.
Signaler RépondreQuand ce n'est pas nous même.
Merci à Monsieur GOLLNISCH de rester fidèle à ses convictions et de tout faire pour sauver notre pays.
tout simplement parce que les résistants à l'islamisme comme tu les appelles sont les collabos du nazisme
Signaler RépondreEn quoi les résistants aux nazismes seraient plus honorables que les résistants à l'islamisme ?
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