La justice lui reproche d'avoir agi malgré un arrêté municipal qui lui
interdisait d'accueillir ces familles dans son église de Mont-Reynaud.
Le jugement a été mis en délibéré ai 27 janvier prochain. Gérard Riffard
avait été relaxé en première instance à St Etienne.
c est une honte on condamne un pretre qui soulage la misere humaine qui n est entendue par personne mais on relaxe des casseurs!!!!! triste France !
Signaler RépondreCe prêtre est inquiété... parce que son local ne répond pas aux normes d'habitation ! Il se défend en disant que la rue ne correspond pas non plus à ces normes imposées.
Signaler RépondreIl me semble qu'il y a là quelque chose d'absurde, non ? Quand on privilégie la loi sur l'humain, voilà ce que ça donne...
Le parquet a fait appel puisqu'il avait été relaxé en première instance...l
Signaler RépondreLa justice n'a pas d'autres délinquants à poursuivre ??
Ce n'était donc pas des "familles de demandeurs d'asile africaines"...mais bien des "sans-papiers" c'est à dire des clandestins!
Signaler RépondreCe prêtre a enfreint la loi, il doit donc répondre de ses actes...nul doute que Dieu le lui rendra!
Mais il ne faut pas confondre Charité et activisme politico-religieux, surtout dans une République laïque!