Dans cette lettre, Jean-Jack Queyranne demande la suspension des travaux
: "Compte-tenu de l'incertitude juridique liées à la mise en oeuvre du
projet, il me parait préférable de prendre les dispositions nécessaires
à la suspension des travaux, jusqu'au prononcé de la décision qui sera
rendue par la juridiction administrative".
Pour rappel, le juge des
référés du tribunal administratif de Grenoble a été saisi de deux
demandes de référés suspensifs de la part des associations de défense de
l'environnement.
Jean-Jack Queyranne demande également au préfet de "diligenter une mission pour apprécier les conditions de réalisation de
ce projet au regard des contraintes environnementales".
Si le Préfet est logique, vu son comportement pour le stade des lumières, il ne devrait prendre aucune décision de suspension de travaux.
Signaler RépondreMais bon avec ce préfet, on peut s'attendre à tout. Même à ce qu'il autorise des manifestations de casseurs, c'est dire.