Si l'identité et les motivations du tireur restent inconnues, les
enquêteurs envisagent de moins en moins de scénarios concernant les
victimes.
Mohamed G., dit Charly, pourrait être une victime collatérale de la
rafale tirée rue Raspail. L'homme de 62 ans, connu pour des faits de
braquage et de trafic de drogue dans les années 80 et 90, venait
d'arriver sur place pour jouer aux cartes selon le Progrès.
Il avait
rejoint Farid B., dit le Turc, dont le profil intéresse les forces de
l'ordre. Atteint de plusieurs balles et grièvement blessé, il
posséderait, avec ses 10 ans passés en prison, un CV plus long que celui
de Charly.
Sorti du coma, il sera bientôt interrogé car il devient la
cible principale du règlement de comptes selon les enquêteurs.
Le mode opératoire, une variante du drive-by shooting américain,
laisserait à croire qu'il s'agit de jeunes délinquants ayant voulu faire
leurs preuves ou réglant une vieille dette.
Faut pas rêver, les PV de stationnement rapportent plus et sont moins dangereux. Laissons donc "bosser" les "jeunes des quartiers". La politique de l'autruche, malheureusement, donne raison aux délinquants.
Signaler RépondreQuand appellerons nous un chat, un chat et prendrons nous les bonnes mesures ?
Le fameux Charly s'appelle finalement Mohamed, et la nouvelle cible privilégiée par les enquêteurs : Farid dit le Turc !
Signaler RépondreSans commentaires supplémentaires.
Le mort n'était donc pas la cible, parce que un des deux blessés a un cv plus long que le mort...
Signaler RépondreL'enquête policière progresse à grands pas...ptdr
Après s'être étonner de ce règlement de comptes dans un "quartier tranquille", je constate que les flics sont aux taquets !
Dès que vous avez deux minutes et sans vous déranger, venez faire un tour du côté de la perralière.
Un trafic de voitures volées fonctionne au grand jour, sans que cela dérange quiconque, sauf les riverains qui n'ont de cesse d'alerter les "autorités" !
Çà se passe rue du premier mars 1943 entre le 73 et 81.