Deux chauffeurs n'étaient d'ailleurs pas titulaires du permis de
conduire.
Les particuliers qui s'improvisent chauffeurs utilisent l'application
smartphone d'Uber et ils sont difficiles à repérer pour la police. Les
clients qui utilisent le service, qu'ils trouvent pratique et moins cher
que les taxis, ne comprennent également pas pourquoi leur chauffeur se
retrouve parfois au poste de police.
Pour l'instant l'activité Uber n'est pas considéré comme illégale par la
loi. Le statut de l'entreprise concernant une éventuelle concurrence
déloyale envers les taxis n'a pas été défini. Le tribunal de commerce de
Paris a mis sa décision en délibéré au 12 décembre.
En France, Uber
compte un demi-million d'utilisateurs dont 160 000 pour Uber Pop.