Débuté le 18 septembre pour une durée de trois mois, il a permis de
chasser les camionnettes de prostituées qui étaient légions (70 à 90 par
jour) dans ce quartier reculé de Gerland.
Mais plusieurs dirigeants d'entreprises ont confié au Progrès leurs
craintes de voir revenir les travailleuses du sexe, leurs clients et
leurs souteneurs, maintenant que les barrières ont été enlevées et que
le vigile ne tourne plus la nuit.
L'adjoint à la Sécurité, Jean-Yves Sécheresse, a annoncé au quotidien
qu'un autre arrêté serait pris à nouveau si le besoin se faisait sentir.
Ce n'était pas un rabbin ? Ou un imam ?
Signaler Répondremoi je veux bien faire le sacrifice !
Signaler Répondreet quelle est la solution pour les bonnes sœurs ? pour les veuves ?
Signaler RépondreIl faut des prostituées, il y a des personnes qui ne peuvent pas faire autrement, je travail a coté, la dernière fois j'ai vu un curé rentrer dans une camionette ! les curés c'est leurs seul moyen ! mieux vaut cela qu'ils touchent nos enfants !
Signaler RépondreJe ne comprends pas pourquoi on laisse ces pauvres filles dans la rue et potentiellement en grand danger alors qu'il serait simple de ré-ouvrir des maisons closes, garante d’hygiène et de moralisation de la profession. Et pourquoi pas les "fonctionnariser". Et tant pis pour les macs !!
Signaler Répondreexact ....avec l'ouverture des maisons closes , adieu les "maquereaux ou maquerelles " et au moins plus d'hygiène !!!!!
Signaler RépondreOui en 1945 par Marthe Richard
Signaler RépondreTant qu'il y aura des clients il y aura des prostitués. Et des clients du sex il y en aura toujours. Il est peut être temps de réouvrir les maisons closes fermées il y a des décennies par des politiques qui au nom d'une certaine morale on jeter les filles a la rue.
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