C'était l'une de leurs deux cibles évoquées la veille, avec la
raffinerie de Feyzin. S'ils sont restés 18 heures à Corbas, on ne sait pas encore combien de temps les grévistes, une cinquantaine ce mardi matin, entendent filtrer les deux entrées du port lyonnais. Une trentaine de camions étaient déjà bloqués à 9h selon nos informations.
Ce blocage se déroule dans le cadre du mouvement national des routiers
initié par l’intersyndicale CGT, FO, CFTC et CFE-CG qui réclament des
négociations salariales. Ces discussions avec le patronat doivent
débuter ce mardi matin à 9h et se poursuivre jeudi.
En plus d'une hausse des salaires d'au moins 5%, l'intersyndicale natioanle réclame la mise en place d'un 13e mois et l'ouverture de négociations pour la gestion des fins de carrière.
Mise à jour à 9h30 : Après l'intervention des forces de l'ordre et des négociations serrées, les routiers ont décidé de lever le blocage du port Edouard-Herriot. Les camions retenus dans le port ont donc pu quitter les lieux.
Les grévistes retournent au Marché de gros de Corbas, un site déjà bloqué durant 18 heures en début de semaine. Le but sera cette fois de distribuer des tracts informatifs, et non d'empêcher les camions de circuler.
Mise à jour à 12h30 : Les routiers grévistes ont décidé de se rendre à la raffinerie de Feyzin. Mais leur blocage n'aura duré qu'une demi-heure. L'intervention des forces de l'ordre à 12h30 a mis fin au mouvement.
Quelle mascarade ce "conflit" !
Signaler RépondreLes syndicats ont tellement peu d'adhérents et de sympathisants dans les entreprises.
Qu'ils en sont réduits a faire croire qu'ils sont nombreux par le bouclage de petits lieux stratégique.
Les journalistes comme d'habitude ne vont pas plus loin que leur bout de nez, et font les perroquets des dépêches !
Il y a quelques années, un syndicat a pousser le vice a louer des véhicule pour créer artificiellement des barrages sur les routes...
Notamment avec une ambulance et une semi remorque, mise en travers de la chaussée, au péage de Villefranche.
La Gendarmerie, qui avait reçu des ordres a fait le reste en fermant cette autoroute !
Les médias ont fait des interview téléphonique du pseudo leader de ce syndicat, qui n'a jamais toucher un volant de bahut de sa vie !
Comme quoi les cons ça ose tout.
Dommage, que ces cons ne soient pas contredits par ceux qui sont censés nous informer correctement.