Ce mercredi, à 12h30, ils étaient une soixantaine à manifester Place
d'Arsonval devant l'hôpital Edouard Herriot dans le troisième
arrondissement. L'objectif de cette mobilisation est de remettre en
cause la loi Fin de vie de 2005, votée à l'époque à l'unanimité par les
députés. Le mouvement "Soulager mais pas tuer" dénonce deux risques
majeurs : la menace d'une surenchère parlementaire vers l'euthanasie
explicite d'une part, et la menace de la légalisation d'une euthanasie
masquée derrière l'expression "sédation profonde et continue jusqu'au
décès" d'autre part.
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je travaille en maison de retraite et la réalité est qu'on laisse nos "vieux" et nos "malades" seuls (je ne parle pas des soignants mais bien de toute la société) et qu'ensuite on va leur proposer la mort parce qu'ils sont malheureux !!! commençons par ns occuper de nos vieux !
Signaler Répondreet vivent les soins palliatifs !!!! la réalité, c'est que 98% des personnes qui demandaient à mourir rapidement ne le veulent plus après avoir été soulagé des douleurs physiques et accompagnées humainement (ds les services de soins palliatifs justement). n'est ce pas plutôt ça, de mourir "dignement" ?
Commentaire totalement éloigné des réalités, des souffrances et des capacités médicales.
Signaler RépondreQuand on laisse ses croyances diriger ses pensées, on obtient les pires atrocités.
Et vous, quelle est votre perspective ?
Signaler RépondreC'est grâce aux soins palliatifs qu'on diminuera la souffrance. Pas par la mort...
maintenir en vie artificiellement des personnes sans perspective qui souffrent et qui ne souhaitent pas continuer a vivre c'est bien cela qui est totalement inhumain .
Signaler RépondreBravo à ces gens, il est important de se mobiliser contre l'euthanaz!e !
Signaler RépondreLe gouvernement doit développer les soins palliatifs au lieu de chercher à régler le problème de la souffrance de manière radicale et inhumaine !