Le personnel soignant de l'hôpital psychiatrique dénonce la saturation
des services et le manque de moyens pour prendre en charge les malades.
Les attaques terroristes survenues les 7,8 et 9 janvier derniers ont eu
un impact sur plusieurs patients fragiles. De plus, d'avantage de personnes sujettes à des angoisses ou au contraire en proie à des crises de
délires, criant par exemple « Allah akbar » ont du être prises en charge.
L'hôpital ne disposant pas de places suffisantes, plusieurs patients ont
du être attachés dans des lits non sécurisés au lieu d'être placés en
isolement. Les syndicats alertent également sur les problèmes de
sécurité avec un taux d'occupation supérieur à 150 % depuis un an et
plusieurs pics dépassant les 200 % ces derniers jours. Les soignants
témoignent d'ailleurs des difficultés rencontrées au quotidien : « quand
on traite mal les gens, ils vous traitent mal ».
Selon le personnel, il faudrait renforcer de deux à trois infirmiers les
équipes déjà présentes. Si les effectifs étaient renforcés, les soins,
de jour comme de nuit pourraient être mieux assurés.
Des gens qui crient "Allah akbar " dans la rue il y en a des centaines, la préfecture de police de Paris a même autorisé un rassemblement d'énergumènes de ce genre pour, soi-disant, "lutter contre l'islamophobie"...
Signaler RépondreLes " fous de dieu" sont parfois délirants...
Signaler Répondremais pas d'amalgame tous les délirants ne son pas " fous de dieu " et tous les fous ne sont pas délirants par contre il faut être bien fou pour délirer sur "les fous de dieu "
C'est donc confirmé par le corps médical.
Signaler RépondreCrier "Allah Akbar" c'est du délire.
Moi je dis ça, je dis rien.
"De plus, d'avantage de personnes sujettes à des angoisses ou au contraire en proie à des crises de délires, criant par exemple « Allah akbar » ont du être prises en charge. "
Signaler RépondrePas d'amalgame SVP