Après le suicide d'un patient vendredi, on apprend ce mercredi qu'une
autre patiente s'est pendue dans sa salle de bains dimanche soir.
Selon
le Progrès, un aide-soignant de l'hôpital psychiatrique s'est précipité
sur les lieux pour tenter de détacher la femme qui suffoquait. N'y
arrivant pas, il appela à l'aide ses collègues. Mais ces derniers ne
l'entendront pas, le dispositif d'alerte d'urgence était hors service.
Il faudra attendre de longues minutes pour qu'une autre patiente passe
par là par hasard et aille prévenir le personnel soignant elle-même.
Mais il était déjà trop tard.
Les syndicats CGT, FO et UNSA, qui ont déjà déposé un préavis de grève
pour le 12 février, appellent à un rassemblement du personnel ce jeudi
matin pour réclamer des renforts afin d'éviter de nouveaux drames au
Vinatier.
J'ai aussi entendu que la HALDE aurait été saisie ça commence a faire beaucoup de problèmes pour qu'aucun politique ne réagisse non ?
Signaler Répondreoui un hop avec tant de potentiel aidez nous l'ars et marisole touraine
Signaler RépondreUn hopital avant beaucoup de potentiel, oui nous les infirmiers sommes très mal peur des représails si on parlait
Signaler Répondrece dysfonctionnement du système d'urgence parait a minima ahurissant et gravissime !!! il n'est pas concevable de jouer avec la sécurité du personnel et des patients de la sorte !!
Signaler Répondrecomment expliquer que notre directeur lors de l'été 2010 à trouver les budgets pour installer des caméras espions dans une unité de soin "revol" sans aucune autorisation ni de la préfecture, ni des responsables de l unité , ni des soignants ni des patients Et que depuis 6 mois nous les soignants , les patients ne pouvons compter sur un dispositif d appel d urgence qui ne
Signaler RépondreFonctionne plus depuis 6 mois.
Je pose la question de la priorité pour nos directeurs pour l ars saisit pour ses deux dossiers et notre ministre de la santé
Nous vivons un climat de tension, la direction générale et des soins nous menacent si nous parlons, alors on se tait, des collègues sont en dépression et nous sommes à la limite de craquer nerveusement, l'ARS sollicitée a plusieurs reprises n'intervient pas... Nous avons acheté des sifflets pour que nos collègues viennent a notre secours pour paalier a la panne du dispositif d'urgence depuis plus de 6 mois.
Signaler RépondreC est une honte , être pris en charge dans un établissement publique et ne pas mettre en œuvre une organisation assurant la sécurité des patients et des soignants paraît le minimum. Mais que font les responsables direction ars et ministre. Comment nous infirmiers Pouvons nous continuer de travailler en ayant la boule au ventre,
Signaler Répondreil n'y a pas qu'entre ces murs que les patients se suicide mon pere a été interné 2 fois il n'y avait pas un bon suivi la psy etait incompetente ,derrière il a été retrouver pendu chez lui a son domicile 1 mois apres etre sorti du vinatier
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