Quatre unités seront mises à l'arrêt dans un premier temps afin de
réaliser les travaux et les investissements permettant de renforcer la
sécurité et le respect de l'environnement, et d'apporter des
améliorations techniques, en particulier pour réduire la consommation
énergétique.
Pendant cette période, les unités de raffinage du site
continueront de fonctionner normalement et d'approvisionner le marché.
Lors de cette opération de maintenance, 1500 intervenants se relaieront
sur le site de la raffinerie, pour réaliser près de 400 000 heures de
travail. Le tout pour un budget et un investissement global de 50 millions d'euros.
A noter que durant les phases d'arrêt progressif des unités et,
conformément aux procédures de sécurité du site, des gaz pourront être
brûlés à la torchère nord de la plateforme, entraînant éventuellement
une nuisance sonore et/ou un panache de fumée visible depuis l'autoroute et par les riverains.
Selon Total, ces
possibles émissions "ne présenteront pas de risques pour la santé".
Fermons ces usines vétustes et déficitaires afin de redonner un peu d'air pur aux habitants du sud lyonnais.
Signaler RépondreSAUF QUE L'ON SAIT A PRÉSENT QUE LES GAZ BRÛLÉS SONT HAUTEMENT CANCÉRIGÈNES !!!!!!!
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