Mais l'absence des graffeurs concernés laissait planer un doute.
Le Progrès révèle ce mercredi que ces derniers n'ont pas du tout
apprécié le documentaire concocté par Nathalie Sibille et François
Welterlin, deux jeunes diplômés de Studio M. Les célèbres Birdy Kids
n'avaient pas compris que le film serait projeté au cinéma ou dans des
festivals, et ils n'aiment pas l'image trop lisse, trop officielle qu'on
leur prêterait, celle de "graffeurs de mairie".
Le collectif Birdy Kids manoeuvrerait d'ailleurs pour empêcher le
documentaire d'être désormais projeté dans d'autres cinémas. On ne
badine pas avec sa street-réputation.
apres avoir saloper les murs de la ville, les panneaux d'indication , les armoires electriques de la sncf .. etc..
Signaler RépondreCe collectif est accueilli en grandes pompes à la mairie .
elle est belle la France ...
Encore un drame du droit d'auteur... Tout pour l'auteur (du graph, comme du docu) et rien pour les autres.
Signaler RépondreUne licence Creative Commons CC-BY-NC-xx aurait bien cadré les choses...
Dommage que la presse ait choisi de ne parler que du différent entre les graffeurs et les réalisateurs !
Signaler RépondreLe but n'était il pas de faire découvrir le street art et ce que 2 jeunes réalisateurs étaient capables de faire ?
Docu de qualité, BRAVO.
vous avez vu le docu voireuil? parce qu'à l'heure de la projection on a vu plusieurs de vos commentaires sur lyon mag...
Signaler Répondrene jugez pas sans avoir vu.
non ils veulent surtout pas qu'on révèle le coté très lisse et creux de leur production
Signaler Répondre"Nathalie Sibille et François Welterlin, deux jeunes diplômés de Studio M."
Signaler RépondreCe qui démontre bien qu'à la sortie des "grandes" écoles, la plus value créative est très, très maigre! Elle surfe sur le pillage!
Et oui, ils ne veulent pas tomber dans la sphère bobo-médiatique. Je les comprends.
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