Par rapport aux autres établissements privés, le groupe scolaire
Al-Kindi à Décines sous entend ne pas avoir les mêmes faveurs de l'Etat
et réclame davantage d'attention.
L'équipe directrice d'Al-Kindi s'est adressé au préfet pour revendiquer
un contrat d'association qui permettrait d'avoir plus d'enseignants
payés par l'Etat. Aujourd'hui, le groupe est en partie financé par des
fonds étrangers. De son coté, la préfecture, décisionnaire, a rappelé la
réglementation.
Ce contrat oblige l'établissement à accueillir les enfants sans
distinction d'origine, d'opinion ou de croyance. En contrepartie, l'État
rémunère les enseignants, et les collectivités publiques financent le
fonctionnement de l'établissement.
L'établissement remplit aujourd'hui les conditions du passage sous
contrat. Depuis 8 ans d'existence, et chaque année depuis 2012, le
collège et le lycée obtiennent le passage sous contrat de deux classes.
Pour autant ce n'est qu'une seule classe de troisième qui bénéficiera de
moyens à la prochaine rentrée.
Quant à l'école primaire, elle n'obtient rien alors qu'après cinq années
d'existence, elle correspond à la durée d'existence légale. Son
directeur n'aurait pas le diplôme requis selon la préfecture.
faut faire le tour des écoles cathos où la population est maintenant très voire trop mixée !!
Signaler RépondreIls réclament d'être traité comme les écoles catholique ou juive qui son sous contrat avec L'État.
Signaler RépondreEncore un info qui ne choque que les islamophobe de base.
et puis quoi encore
Signaler Répondrecombien de jeunes de confessions différentes dans cet établissement ?
j'attends un pourcentage .... bref une vraie enquête
Marre de cette islamophobie permanente de la gauche.
Signaler RépondrePour les discours, il sont anti islamophobes mais dans leurs actes, ils sont comme les islamophobes.
Ben voyons, il faut bien que nos impôts servent à quelque chose.
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