Face à un passager en provenance du Kenya, ils décidèrent de passer ses
bagages aux rayons X. L'examen permettra de distinguer des masses
intrigantes, nécessitant l'ouverture des sacs pour s'assurer du contenu.
Sauf que le passager expliquera aux douaniers qu'il ne possédait pas
les clés permettant d'ouvrir les cadenas de ses bagages.
En forçant les serrures, les agents tomberont finalement sur le butin :
des fagots végétaux identifiés rapidement comme étant du khat, ces
feuilles à l'effet stimulant et euphorisant. Pas moins de 30 kilos de
cette drogue se trouvaient dans ses sacs, pour une valeur estimée à 30
000 euros.
"Visiblement surpris par cette découverte, l'individu a déclaré qu'il
ignorait transporter une telle marchandise", ont expliqué les douaniers.
L'homme aurait été approché par un ami au Kenya, lui proposant de
l'argent et un billet d'avion en échange des bagages à transporter.
Jugé en comparution immédiate au tribunal de grande instance de Lyon, le voyageur originaire des pays de l'Est a finalement été condamné à un an de prison
dont six mois avec sursis, cinq ans d'interdiction du territoire
français et à 24 000 euros douanière.
Ben, quoi, c'est du BIO!
Signaler RépondreCorrection, la France a été condamné à accueillir, nourrir, loger et blanchir dans ses centres de rétention 4 étoiles; un marchand de mort étranger!
Signaler RépondreMais bon... le déficit n'est pas encore assez grand!
Il manquait le khat sur le marché local !
Signaler Répondre