Parmi eux, 62 étaient en situation irrégulière. Pour ces personnes, le
préfet du Rhône, Michel Delpuech a demandé que soient étudiées les
solutions permettant de reconduire dans leur pays celles ayant vocation à
quitter le territoire national.
Le préfet a également demandé "d'examiner tout particulièrement la
situation sociale des personnes bénéficiant du statut de réfugié, de
formuler des propositions d'hébergement aux demandeurs d'asile et
d'accélérer l'instruction des différents dossiers."
Car parmi la centaine de personnes évacuées du squat, 3 personnes ont
obtenu le statut de réfugié, après avoir vu leur demande d'asile aboutir
favorablement. 20 autres demandes d'asiles sont en cours d'instruction.
Mais parmi tous ces cas, la préfecture a noté que trois personnes qui
ont bénéficié de l'aide au retour de 300 euros sont revenues sur le
territoire français, et deux ont intégré le squat alors qu'elles
bénéficiaient d'un hébergement financé par l'Etat au titre de l'asile.
Enfin, 5 personnes ont déposé une demande de titre de séjour pour raison
de santé. Ces dossiers doivent également être étudiés prochainement.
En attendant, cette centaine de réfugiés, principalement des Albanais, mais aussi des Serbes et des Kosovars, va passer la nuit de mercredi à jeudi dans le gymnase de l'école des Maristes à Saint-Paul. Mais ce relogement ne sera que temporaire.
Il faut obliger les familles socialistes à héberger une famille . Ils feraient la rêve que solidarité qu'ils prônent n'est pas payée par d'autres !
Signaler RépondreRetour au pays !!
Signaler RépondreIl faut reconduire à la frontière toutes les personnes avec leur famille qui n'ont pas de contrat de travail, et sans argent ! C'est évident qu'ils reviendront. Pourquoi une telle naïveté de nos hommes politique. Qu'est ce que ça cache?
Signaler RépondreEnsuite il faut les ficher avec leurs empreintes digitales et ne plus les laisser rentrer, une fois qu'ils ont déjà fait l'objet d'une reconduite à la frontière.
IL faut aussi ficher les délinquants mineurs avec leurs empreintes digitales, comme cela ils auront une identité puisqu'ils refusent de donner la leur. Ainsi en cas d'arrestation et qu'il y a récidive, il faut les reconduire à la frontière aussi. On voir des reportages sur la délinquance des jeunes dans les transports. Mais à quoi cela servent les arrestations des flics si c'est pour les relâcher 1h après?
peut on vous proposer un relogement sur un groupe scolaire ? votre prose est un crime à l'orthographe
Signaler RépondreIl ni a qu'à les loger cher les responsable. C'est à dire nos élus
Signaler RépondreUn retour dans leur pays serait à privilégier !
Signaler RépondreIl est grand temps que ce gouvernement réalise enfin que la France ne peut plus accueillir toute la misère du monde !!
Signaler RépondreProprement hallucinant !!!
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