Un mouvement qui avait eu lieu lors du passage de Cyril Hanouna dans l’entreprise lyonnaise, venu enregistrer l’une de ses émissions chez LDLC. Résultat : l'enregistrement s'était déroulé à Dardilly, au siège social de la société.
Depuis les micros se sont éteints, mais les salariés ont décidé de ne pas baisser les bras. Pour protester contre des conditions de travail qui se détériorent selon eux, depuis lundi ils débrayent un quart d’heure toutes les heures, explique le Dauphiné.
Un mouvement qui devait toutefois prendre fin ce mercredi, mais qui pourrait recommencer lors du prochain pic d’activités de l’entreprise, à savoir au moment des fêtes de fin d’année.
oser comparer le syndicalisme des USA et celui français est d'une ignorance manifeste.le rôle limité des syndicats notamment depuis des scissions en 2005 et la baisse du nombres de syndiqués s'ajoutent à une législation qui limite le droit de grève pour de nombreux salariés et interdiction dans de nombreux secteurs:quand on voit le nombre de créations d'entreprise facilitée aux USA en comparaison à la France ,on n'a pas besoin de faire une thèse pour comprendre que la France souffre d'handicap par un syndicalisme imposée dans la négociation des relations de travail et ce malgré le pourcentage ridicule du nombre de syndicat (8% du total des salariés):Comme disait Coluche:" La CGT ne représente que 3% des travailleurs et ils nous emmerdent"
Signaler RépondreSingularité française ?
Signaler RépondreVous connaissez le syndicat des routiers aux US (et leur poids) ?
LDLC n'est pas une société web, elle n'avait rien à craindre de l'éclatement de cette bulle ...
Signaler RépondreOn sait bien que la France crève des syndicats qui font du mal non seulement par leur grève d'un autre age mais aussi en faisant créer des tas de règles anti économique pour l'entreprise qui freinent la création d'emploi sans compter la gestion des caisses de retraite calamiteuses et injustes selon les régimes. vouloir surprotéger des emplois à outrance c'est en faire disparaître ou ne pas en faire vivre des milliers d'autres :pour eux le compromis c'est la compromission le résultat c'est 6 millions de personne inscrits à Pole emploi et les petites entreprises qui n'espèrent qu'une chose:ne pas voir les syndicats s’immiscer dans leur gestion pour les enfoncer encore plus et les décourager d'investir:du gachis depuis 40 ans validé par les politiques
Signaler RépondreQuand on sait que cette boite a été démarrée sur un coin de table il y a 15 ans, et qu'elle est quasiment la seule à avoir survécu à l'effondrement des bulles internet successives, je pense que les syndicats ont vraiment tout compris... Qu'ils aillent bosser 5 minutes chez Amazon, et on en reparlera...
Signaler RépondreQuels fossoyeurs !