Le quadragénaire avait en effet passé 218 appels et envoyé 802 textos à
son ex-compagne en l’espace de 10 jours. L’individu l’avait également
suivie sur son lieu de travail et à son domicile malgré une interdiction
judiciaire. Présenté au parquet ce week-end, il a été écroué dans
l’attente de sa comparution qui aura lieu ce lundi.
effectivement une aide psychologique semble plus adaptée que la case prison.. enfin nous n'avons pas le "dossier"
Signaler RépondreVu la facture téléphonique qu'il doit se taper, un éloignement en prison pendant quelques mois devrait l'aider financièrement et aussi à l'oublier.
Signaler RépondreAprès que ce soit inscrit dans son casier c'est un peu extrême, il n'existe pas des maisons de repos pour des cas aussi soft que ça ?