Le cursus sera rythmé sur une durée de trois ans et sera articulé autour
quatre piliers transdisciplinaires. 450 heures seront ainsi consacrées à
la maitrise des outils du numérique et leur fonctionnement. 430 heures
seront dédiées à la communication, tels que la création grapiquhe, la
gestion de contenus et le m-marketing. 430 heures de cours serviront aux
étudiants à appréhender la vie de l’entreprise, avec notamment une
vision financière ou encore la gestion de la relation client. Enfin,
405 heures de cours seront consacrées au développement personnel : la
culture régionale, l’histoire de l’art ou les sciences des langages
seront par exemple abordées.
Les heures de cours sont réparties par matière selon leur complexité et leur importance dans le cursus.
Pour
rappel, les pré-inscriptions sont déjà ouvertes sur le site de l'Ecole
LDLC. Les candidats doivent être titulaires du baccalauréat et devront
satisfaire à différents tests dont un entretien en face à face.
Chaque promotion sera constituée d'une trentaine d'étudiants. La scolarité coûtera 1996 euros par an.
Tout a fait, méfiance !
Signaler RépondreL ecole est jeune...elle a le temps de se faire connaitre et reconnaitre.
Signaler Répondrejoajojoa a raison... en SSII on regarde certes les diplomes, mais le plus important est le savoir faire!!! ces entreprises recrutent constamment et doivent meme refuser des projets par manque de main d'oeuvre!
je souhaite un bon début a l ecole LDLC!
Arielle : peut-être... mais par rapport à d'autres écoles privées... Je pense qu'elle sera intéressante. D'autant plus que l'objectif d'LDLC est d'intégrer des personnes préparées pour leur poste.
Signaler RépondreEt pour tout te dire... sur ce type de poste... on regarde plus le dipôlme obtenu le savoir-être est primondiale en plus des connaissances basiques ! (sauf pour les très grosse entreprises)
Bof dépenser 2000 par an, pour une formation non reconnue par le système boursier de l'Etat et surtout non reconnue par les entreprises et les cabinets de recrutement, tout ça c'est du temps perdu.
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