Selon le Progrès, il s'agirait très probablement de la même personne qui sévit depuis 2012. Le voleur opère le jour, de préfèrence lorsqu'il pleut ou les jours de grosse affluence dans le parc du 6e arrondissement de Lyon.
Le préjudice est difficile à estimer, mais la quantité importante de plantes dérobées aurait pu se revendre aisément sur le marché. Le voleur avait notamment ciblé l'une des plantes les plus rares du jardin, un ribes sardoum. Sur les cinq que compte le parc, quatre ont disparu.
Le personnel du parc a scruté les sites de revente sur internet, sans succès. Ce pourrait donc être un collectionneur qui conserve chez lui son butin.
Il a donc été décidé de fermer des portes d'accès à la fougeraie, de placer des pancartes incitant à dénoncer tout comportement suspect et de demander à la police municipale de faire davantage de rondes dans le secteur.
Une plainte a été déposée et c'est tout un parc qui espère faire cesser ces agissements car le système d'échanges de graines mis en place ne permet pas aux équipes de remplacer numériquement les plantes manquantes.
Jeudi 14 Mai 2015 à 06h57
Lyon : le Parc de la Tête d'Or veut mettre la main sur le voleur de plantes
LyonMag
En 2014, 23 vols de plantes remarquables ont été recensés par les
équipes du jardin botanique du Parc de la Tête d'Or. Et depuis janvier
dernier, pas moins de 9 bulbes, fougères et plantes ont été subtilisés, signe que la cadence ne faiblit pas.
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Ne cherchez pas trop loin quand mme. .. Le voleur de bulbes est dans les murs ...
Signaler RépondreOh dans 10 ou 15 ans, la police municipale finira bien par identifier puis interpeller cet amoureux de plantes ! ptdr
Signaler RépondreNon il y a des domaines où cette police excelle.
Par exemple la verbalisation d'un père de famille qui aide sa fille à uriner contre un arbre du parc....
Mieux encore, la verbalisation d'un cycliste pour excès de vitesse dans les allées du parc !
Au plus haut sommet de cette montagne d'incompétences et de bêtise, il y a pépère.
Lui, c'est un autre niveau. Rappelez-vous quand il a fait croire au monde entier que Baby et Népal étaient tuberculeuses !
En conclusion, ne vous étonnez pas des conséquences quand vous voter pour n'importe qui !
http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/23/878049-450e-d-amende-pour-un-pipi-pres-d-un-arbre.html
http://www.20minutes.fr/lyon/660090-20110127-lyon-un-cycliste-lyon-proces-exces-vitesse
http://www.association-baby-nepal.com/
Si c'est le crime le plus violent du moment dans la ville, alors ça va, nous n'avons pas de problèmes dans cette ville.
Signaler RépondreJe vous rend hommage, gillesbb, je confirme vos propos en ajoutant que dans les descriptifs d"éco-label" (par exemple le label "EcoJardin") la préférence doit être donnée aux "plantes à intérêt écologique (mellifère et nectarifère)", et on peut même "favoriser la flore indigène lors des renouvellements".
Signaler RépondreVotre remarque sur l'argent est juste, d'ailleurs le premier crack boursier a eu lieu en Hollande en 1637 après une bulle de spéculation sur les bulbes de tulipe. C'est pourquoi dans mes réflexions, en écrivant "rendre disponible", je ne pensais pas à une sélection élitiste, par cooptation ou par l'argent. J'ignore si il existe une telle "filière". Je pensais plutôt à un système ouvert et pédagogique, encore à trouver et à définir. Mais je suis peut-être un rêveur, l'association de semences Kokopelli risque toujours de se faire casser les reins par les multinationales semencières.
il y a environ 10 ans le kilo de graines de Stévia était à 150 000 €uros !!!! chiffre dément d'accord mais qui devait enrichir certains, existe t'il une filière de ce type sur des plantes "jackpot" moi je me contente juste de faire des plantes à fleurs de façon à aider mes amies les abeilles. cc'est une question que je me pose
Signaler RépondreIncontestablement, il s'agit d'un connaisseur, un botaniste amateur mais passionné. Amateur, car un professeur ou un professionnel reconnu aurait accès à des plantes rares. Il y a deux ans que ça dure ; donc les essais pour le coincer ont lamentablement échoués ; le coup de la caméra ne fonctionnera pas pour cette personne maintenant entraînée et presque "sur son territoire". La dernière option est de rendre publique l'affaire ; cela aidera peut-être à l'arrêt des vol (prise de conscience), ou à l'arrêt du voleur (quasi inévitable sur un temps assez long).
Signaler RépondreUne suggestion pour éviter ce genre de désagréments : trouver un système pour rendre disponible ce genre de plantes (vente, graines, boutures, club ou rencontres botaniques, inscriptions stages découverte ou experts, partenariat jardineries, etc.). Elementaire : si le seul moyen d'accès à une chose est le vol, continuez à pleurnicher, allez-y, ça va arranger les choses, c'est constructif.
qu'ils mettent une caméra sur le ribes sardoum restant avec un détecteur de mouvement mit dans la motte ainsi ils pourront le gauler aisément
Signaler RépondreARSÈNE. « LUPIN » au jardin. !!!!!!!!!
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