Ralph Rugof (commissaire), Thierry Raspail (directeur artistique) et Sylvie Burga (directeur générale) - LyonMag DR
Pour l'occasion, de nombreux lieux emblématiques de la ville seront investis,
de l’Hôtel de Région, à la Sucrière en passant par le musée d’arts contemporain.
Des artistes de 28 pays différents viendront présenter leurs productions. 60% de ces œuvres sont créée spécialement pour la biennale. Et comme pour chaque édition, presque tous les styles artistiques seront représentés. De la sculpture, de la photographie ou encore de la peinture… Il y aura par exemple un artiste turc, Ahmet Ogut, qui exposera un remake du fameux film des frères Lumières, la sortie de l’usine. Cette fois, la scène sera tournée en Turquie.
Pour la directrice de la Biennale, Sylvie Burgat ce qui l’anime dans ce rendez-vous bien connu des amateurs d’art, "c’est l’envie de faire partager notre envie d’art au plus grand nombre". Passant de 70 000 visiteurs à plus de 200 000 en quelques années, l’événement a pris une dimension toute particulière depuis ses débuts en 1991.
Montrer l’existant sous une autre forme
Ralph Rugoff est le commissaire de l’exposition. Pour lui, " la biennale doit s’ancrer dans le territoire où elle s’installe. Les visiteurs doivent être également des participants, les expositions doivent être matière à réflexion". Des sujets sérieux seront donc traités dans la Biennale, comme l’immigration ou l’identité nationale. Mais " toujours avec de la joie ", assure Ralph Rugoff. Rien que le visuel, un cliché capturé à Taiwan, montre une coexistence dangereuse des éléments. On y voit, au bord de la mer, des parasols et, en arrière-plan, une centrale nucléaire ainsi que des éoliennes.
Retrouvez toutes les informations sur le site internet de la Biennale d’Art Contemporain de Lyon.
La plupart des bénévoles et des participants sont des fonctionnaires, faut dire qu'ils ont le temps et ne sont pas fatigués eux, par leur semaine de travail...
Signaler RépondreC est pas 45 mais 57% de prevelement sur le PIB pour financer toutes ces bêtises qu une minorité de bobo friké qui en profiteront. Mais comme nous sommes des brebis juste bonne à tondre et ce la fermer. Donner du pain et des jeux à la plèbe et Jules César garda le pouvoir 2000ans plus tard la même recette est toujours appliqué et ça marche donnez des miettes au peuple un stade pour admirer des hommes qui courent derrière un ballon et le tour est joué!
Signaler RépondreEntre payer pour ça et pour l'ERAI, on aurait pu le couper et garder l'ERAI, c'est encore moins utile, la pression fiscale est trop forte, 45% du PIB et sans prendre en compte les prélévements sociaux, trop d’impôts !!!!
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