À l’appel d’une intersyndicale large, CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO, SUD et UNSA, les salariés de la Fnac de Lyon sont en grève à l’occasion de l’assemblée générale des actionnaires qui devrait applaudir la mise en œuvre de la dérogation permanente de droit au repos dominical octroyé par le Sénat.
Pour eux, ils subissent une politique de modération salariale depuis quatre années consécutives.
Le Pdg de la Fnac, Alexande Bompard, se défend quant à lui de céder à tout diktat politique en termes d’ouverture dominicale.
Eh oui, lorsque l'on tire sur la languette pour enlever le carcan socialiste années 80, le Flanby s'esclaffe à terre et colle de partout.
Signaler RépondreAu final: salariés englués et démotivés!
Mais vous savez l'homme, normalement, ça évolue... enfin, ceux qui possèdent un cerveau!
Compliqué pour eux, face à la vente de livres et matériel sur internet...
Signaler RépondreMais c'est effectivement une évolution assez étonnante quant on a connu cette FNAC des années 80 à laquelle tout passionné allait chercher l'info auprès de vendeurs experts, que ce soit en photo, en musique, en littérature
Il n'en reste pas grand chose et c'est vraiment dommage
il faut dire que l'âge d'or de la FNAC correspondait avec l'etat d'esprit de son fondateur ( Thérez ) et sa volonté d'apporter la culture au plus grand nombre; la FNAC remue méninges disait la pub et c'était vrai ! le personnel très pointu chacun dans leur domaine et rémunéré en conséquence savait transmettre la culture, on le laissait travailler sans pression et rendement..... et puis les actionnaires, le profit, le marchandising, sont passés par là plus la mort de François Baroin, sont venues les banques et sa cohorte de vautours ...exit la culture, la FNAC est devenue juste un revendeur sans âme.
Signaler RépondreQuand on pense que cette entreprise a eu été dynamique en 1980.
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