"Nous sommes aux côtés des salariés et la copie qui a été présentée sera améliorée", a déclaré le ministre de l’Economie, ce mardi matin, après une réunion avec le PDG de Volvo et propriétaire de Renault Trucks. Emanuel Macron a déclaré lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale "qu’il n’est pas acceptable qu’une telle annonce nous ait été notifiée de la sorte après 500 suppressions d’emplois qui ont été décidées en 2014". Il a également formulé la demande "de prendre des engagements clairs avec les nouveaux dirigeants et l’Etat français ainsi que les collectivités pour s’engager à ce que les centres de recherche et développement, les centres de production qui sont en particulier dans la région lyonnaise puissent faire l’objet de réinvestissements et d’engagements fermes".
Alors que cette réunion se déroulait à Paris, entre 600 et 1000 salariés manifestaient devant la préfecture du Rhône à Lyon. Une délégation a été reçue par le préfet Michel Delpuech qui a rappelé que les négociations n’étaient qu’au commencement. Pour les ouvriers, ce rendez-vous était l’occasion d’affirmer "qu’au-delà de la situation de Renault Trucks c’est tout l’avenir du véhicule industriel en France qui est mise à mal".
Les syndicats appellent à une manifestation mercredi matin devant l'usine de Vénissieux.
ENFUMAGE. !!!!!!!
Signaler RépondreMacron le sauveur ! Il faudrait le remercier lui .....
Signaler RépondreOn s'en foot on a des musées et des stades, alors l'industrie, très peu pour Collomb!
Signaler RépondreAvec l'embargo sur la Russie, c'est la ruine pour Renault Trucks qui va payer la soumission du "Benêtland" à l'OTAN
Signaler Répondrehttp://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140402trib000823299/crise-en-ukraine-la-suede-pourrait-torpiller-un-projet-de-blinde-franco-russe.html#article_post_Comments