Et ce même après une réunion avec Michel Delpuech ce lundi matin à la préfecture. Au cours de cette réunion, les syndicats Solidaire, FO, FSU et CGT ont quitté la table. Pour l’une des représentantes CGT, "un point de rupture s’est opéré car le dialogue avec le préfet ne se fait que dans un sens".
Selon les syndicats, 54% des départs en retraite ne seront pas renouvelés d’ici à 2020. Alors forcément les agents ont peur de perdre leurs emplois dans cette réforme qui pour les syndicats n’est "qu’un plan social déguisé".
De plus, l’inquiétude des fonctionnaires se porte également sur les modalités de leurs conditions de travail au 1er janvier 2016. Il est
d’ores et déjà certain que des postes, s’ils ne sont pas supprimés, seront délocalisés. Il est aussi possible que des agents aient à changer radicalement de missions. Alors, les syndicats veulent savoir exactement qui est concerné car, pour l’instant, "ils n’ont n’a pas de feuille de route", selon le syndicat F.S.U.
Du côté de la préfecture, on assure "qu'aucune mobilité géographique ne sera imposée" et que les unités seront "proches du terrain lorsque les nécessités de proximité l'exigeront". Pour le préfet, "les échanges ont été utiles et ont permis d'approfondir de nombreux sujets".
Pour atteindre l’objectif de faire plus avec moins de personnes, il semblerait que 11 000 postes seront supprimés au niveau national, dont 1 100 en Rhône-Alpes Auvergne.
Excellente nouvelle le non renouvellement de poste à la région
Signaler RépondreLes employés vont diminuer. !!!!!!! MAIS PAS LES INDEMNITÉ DES SEIGNEURS ni nos impôts. .......!
Signaler RépondreJe crois qu'il serait sain de préciser que cet article concerne les agents de l'Etat, qui se réforme pour tenir compte de la réforme territoriale, et que le préfet n'intervient pas sur l'organisation de la collectivité régionale, la Région Rhone-Alpes Auvergne, qui fera l'objet d'élections en fin d'année.
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