Ils ont repêché avec succès une bombe nazie de 50 kilos qui dormait dans le Rhône sous le pont Lafayette depuis la Seconde guerre mondiale. L'engin ne présentait plus de risque d'explosion, la circulation n'était donc pas coupée sur l'ouvrage lyonnais.
Les démineurs ont utilisé le procédé du parachute gonflé d'oxygène pour remonter la bombe qu'ils ont ensuite exposé aux journalistes, plus présents que les badauds, avant de l'emporter.
Selon la préfecture du Rhône, les nazis avaient, avant de quitter Lyon, décidé de miner les ponts de la ville pour les faire exploser lors de la Libération. Un plan qui n'a jamais abouti.
demandez aux historiens, ils vous répondront. Le mieux serait sur ce site. Ou encore, achetez le livre qui présente les documents exposés au musée de la Résistance.
Signaler RépondreIl y a une différence, en effet.
Parachute rempli d'air : pas besoin d'oxygène sauf pour le plongeur s'il avait eu un gros souci lors de la plongée.
Signaler Répondreheu ?!? je suis désolé , je voulais juste parler d'une histoire lyonnaise qui fait partie des Anecdotes de la vie lyonnaise, désolé
Signaler RépondreNon la bombe n'était pas nazie mais allemande.
Signaler RépondreEt la France n'était pas en guerre contre les nazis mais contre l'Allemagne.
N'en déplaise au politiquement correct...
Question : comment distingue-t-on une bombe nazie d'une bombe allemande ?
Signaler Répondrenazi, allemand.... savez-vous faire la différence ?
Signaler RépondreComme si je ne savais pas qu'il y a presque 71 ans, Lyon "finissait" d'être occupée.
On aimerait que les mots adéquats soient choisis pour relater une actualité. C'est tout, mais c'est essentiel quand on sait que les médias nous "écrasent" de leurs confusions et de leur inculture...
En parlant des ponts de Lyon sous l'occupation, le saviez-vous?:
Signaler RépondreIl y a 71 ans, le 3 septembre 1944, Lyon était libérée de l’occupation nazie. La veille, les troupes allemandes en fuite ont toutefois pris le temps de dynamiter les ponts de la ville. Ils ont tous été reconstruits sauf un, le pont d’Ainay. C’est à peine si une petite plaque indique son existence passée, comment il a disparu ni pourquoi il n’a jamais été reconstruit.
http://www.rue89lyon.fr/2014/09/03/pont-ainay-jamais-reconstruit-liberation-lyon-1944/