Un match remporté par Limoges face à Strasbourg, samedi dernier. Après avoir fêté le titre en boite de nuit, Norman Staron, ancien étudiant de l’ISCPA Lyon et Alexandre Piguet, passé par Sciences-Po Lyon ont été violemment agressés dans les rues de Limoges dimanche matin. Un troisième journaliste, Clément Cotentin a lui aussi été pris à partie.
Selon le Populaire, un journal local, des individus en voiture se sont arrêtés à leur hauteur pour leur demander une cigarette. Mais le ton est rapidement monté. L’un a été frappé avec une batte de baseball, tandis que les autres ont reçu des coups de nunchaku. Les blessures sont graves. Un journaliste a perdu connaissance et souffre d’un traumatisme du visage. Il a aussi été blessé à l’œil. Un autre a reçu douze points de suture sur la tête, tandis que le troisième n’est que légèrement blessé.
En revanche, le présentateur de l’émission Ludovic Deroin, marchait plus loin et n’a pas été agressé. "C’est une banale histoire de sortie de boîte, a expliqué l’un des membres de l’équipe au quotidien local. L’agression n’a rien à voir avec Canal+ ou le match du CSP". Une enquête est en cours, mais les auteurs, qui auraient été identifiés par la police, sont toujours en fuite.
Le diktat du vivre ensemble imposé par les élites aux autres mais pas pour eux, commence à leur péter à leur figure.
Signaler RépondreOn en rirait si ce n'était pas aussi tragique.
PAS D'AMALGAMES. !!!!!!!
Signaler RépondreDes journalistes agressés par ceux qu'ils protègent systématiquement dans leurs articles, voilà qui n'est pas banal contrairement aux citoyens qui se font agresser par les mêmes.
Signaler Répondrec'est vrai qu'on est tenté de faire le procès des boites de nuit mais chuttt ce petit monde se protège bien !!
Signaler Répondrene soyons pas les idiots utiles des "boss" de la nuit
PAS D'AMALGAME. !!!!!!!
Signaler Répondreeh oui mais les boites ne posent pas problème et sont bien implantées dans le paysage nocturne.
Signaler RépondrePourtant tous les week ends il y a de violentes bagarres qui éclatent à la sortie ou à l’intérieur..........et aucun contrôle sur l'alcool consommé
"C’est une banale histoire de sortie de boîte, a expliqué l’un des membres de l’équipe au quotidien local…"
Signaler RépondreAinsi va la vie. Vous sortez d'une boite, vous vous promenez, et il est banal de se retrouver aux urgences. Etre passé à tabac au risque de rester handicapé, voire mourir, est… banal. Voilà, voilà.
Les journalistes découvrent la triste réalité de la France...
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