A l’issue des quatre-vingt-seize heures de garde à vue prévues par la
loi, Yassin Salhi a été mis en examen pour assassinat en relation avec
une entreprise terroriste mais également enlèvement et séquestration en
vue de préparer ou de faciliter la commission du crime d’assassinat,
destruction ou dégradation par l’effet d’une substance explosive,
incendiaire ou de nature à créer un danger pour les personnes et
violences volontaires sur personnes chargées d’une mission de service
public.
Un peu plus tôt dans l’après-midi, François Molins, le
procureur de Paris, fustigeait la "mémoire sélective" de l'habitant de
Saint-Priest, qui a "refusé de s'exprimer" sur la mise en scène macabre
de la tête d'Hervé Cornara accrochée au grillage et les photos prises
puis envoyées en Syrie.
Le destinataire du selfie, Yunes-Sébastien,
combattrait actuellement dans les rangs de l’État islamique. Sa mère a
déclaré ce mercredi matin au micro d’Europe 1 avoir reçu un message de
son fils suite à l’attaque de Saint-Quentin-Fallavier. "Je suis une des
causes dans ce qu’il a fait", a-t-il assuré.
ET MÊME À MORT. !!!!!!!
Signaler RépondreFrance est laxiste...pas une question de partie. Les raisons ont sen fiche, assassinat = prison vie point.
Signaler RépondreQui a dit que les socialistes étaient laxistes ?
Signaler RépondreD'autant que selon la version du prévenu, un conflit du travail, sa mise en examen pour assassinat en lien avec une entreprise terroriste est au final plus liée au fait que le Procureur pense que Yassin Salhi pratique la taqîya.
MERCI les Socs. !!!!!!!
Signaler RépondreHEUREUSEMENT QU'IL EST MIS EN EXAMEN ET QU'IL EN PRENDRA À PERPÉTUITÉ, VUE QU'IL N'Y À PLUS LA PEINE DE MORT.
Signaler Répondre