Leena est un petit majordome à domicile et répond aux questions. Il en existe 25 exemplaires. Selon son concepteur, l’industrialisation devrait s’effectuer dans deux ans - LyonMag
"La robotique n’est pas l’ennemi de l’emploi", a indiqué Benjamin Gallezot, directeur général des Entreprises, dans sa présentation de cette édition 2015. A l’intérieur du salon, il y a environ 500 robots multiformes de 20 pays différents. Cette année, Innorobo a décidé de donner une large place aux "cobots" (contraction des mots "collaboratif" et "robot"), ces robots qui travaillent en collaboration avec l’homme pour le décharger de tâches répétitives ou difficiles et en améliorant de facto sa productivité. C’est l’exemple du robot Fanuc qui permet de soulager l’homme durant son travail dans une ligne de montage. C’est un projet collaboratif où l’homme travaille avec la machine et le robot s’arrête quand il touche un humain. Il peut soulever jusqu’à 35 kg.
Balyo est un tracteur robotisé. Plus que de simples chariots automatiques, ces robots s’intègrent au concept de l’usine du futur - LyonMag
C’est également le cas avec Balyo qui est un tracteur robotisé. Plus que
de simples chariots automatiques, ce robot s’intègre au concept de
l’usine du futur. Le robot humanoïde «Baxter» de la société américaine
Rethink Robotics, s’inscrit également dans cette lignée. Monté sur un
buste métallique muni de puissants bras articulés et d’un écran avec
cinq caméras lui servant de tête, le robot d’un mètre mémorise les
gestes à effectuer sur n’importe quelle ligne de montage quand son
utilisateur lui prend la main et lui montre la manœuvre à suivre. Son
prix est tout de même de 22 000 euros.
Le robot japonais Pepper est tourné vers le public car il est capable de lire les expressions faciales des personnes et adapte ses réponses en fonction de l’humeur de son interlocuteur - LyonMag
30% de croissance par an pour la robotique
Beaucoup
plus amusant, la société japonaise Aldebaran Robotics a présenté son
petit androïde "Pepper", qui est tourné vers le public car il est
capable de lire les expressions faciales des personnes et adapte ses
réponses en fonction de l’humeur de son interlocuteur. Sur ce stand, il
est accompagné par ses illustres grands frères, Nao et Romeo, des
habitués du salon.
Avec 30% de croissance par an, la robotique de
service, est estimée à 4,6 milliards d’euros. D’ici 2020, ce marché a
promis de générer 100 milliards d’euros.
Le salon Innorobo se termine ce vendredi à 17h à la Cité Internationale.
SACHE POUR TA GOUVERNE QUE je suis en CRÈTE sur mon voilier, et pas dans une caisse a ATTENDRE UN PIGEON TOUTE LA JOURNÉE OU JOUER AUX BOULES A SATOLAS. !!!!!!!
Signaler RépondreSI TU ES VRAIMENT TAXI Tu devrais la mettre en veilleuse. !!!!!!!
Signaler RépondreTu es paye par Lyon Mag pour commenter tous les articles ou tu n'as rien d'autre a faire de ta vie Commissaire ?? Que du negatif dans tes propos quel que soit le sujet. Tu n'as pas du avoir une vie marrante. Mon pauvre. Defoule toi sur les forums au moins ca te permet d'exister.
Signaler RépondreLES ROBOTS QUI NOUS REMPLACENT Déjà. !!!!!!!
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