Pour le montrer, les employés ont manifesté ce jeudi depuis leur usine de véhicules électriques, à Gerland, jusqu’au siège de la Métropole. La marche
était organisée pour soutenir une délégation qui rencontrait David Kimelfeld, premier vice-président chargé de l’économie.
Après la réunion, et selon le délégué syndical SUD des employés, David Kimelfeld a exprimé son souhait d’organiser rapidement une table ronde avec l’ensemble des acteurs. Le premier vice-président qui a déclaré au Progrès qu’il "s’interrogeait sur le nombre de licenciements, très élevé" et
vouloir "travailler sur le Plan de sauvegarde de l’emploi via des dispositifs d’accompagnement que possèdent nos collectivités pour les salariés
licenciés".
Enfin, toujours pour essayer de rassurer les salariés, les élus du CHSCT ont voté en faveur d’une expertise afin de juger la viabilité du projet industriel proposé par l’entreprise. Ce vendredi, un nouveau comité d’entreprise a lieu.
voici ce qui vous attend renégat de la direction de cenntro
Signaler Répondrehttp://www.leprogres.fr/rhone/2015/07/03/les-cenntro-motors-se-rapprochent-de-l-avocat-rouge-pour-se-defendre
On se souvient que la première vente aux enchères des actifs de Mia Electric avait été annulée par la justice. En effet, de sérieux doutes courraient sur la légalité de cette vente, car la justice pensait que l'ancienne PDG de Mia, Michele Boos, avait utilisé un homme de paille via la SCI Les Roseaux pour acquérir la chaîne de fabrication et les brevets.
Signaler RépondreEt voilà que le nom de l'ancienne PDG de Mia Electric ressurgit à l'occasion de la seconde vente aux enchères qui a vu un acquéreur acheter l'outil de fabrication de la Mia pour la somme de 800 000 euros. L'acheteur a voulu rester anonyme mais il est fort probable qu'il s'agisse de la société Cenntro Motors, basée à Lyon. Et d'autres rumeurs font état d'une implication de Michele Boos...