"Cette affaire est pour moi une triple catastrophe, sur le plan professionnel, sur le plan financier et sur le plan familial", a indiqué lors de l'audience Pascal Fauret, originaire de Saint-Cyr-au-mont-d'Or. "J’ai été sali, je ne suis pas un narcotrafiquant, je ne fais pas partie de la mafia corse, je suis innocent et je demande que le tribunal reconnaisse mon honneur et ma liberté et me rende mon entière liberté".
Le tribunal les a finalement reconnu coupable "d’association en vue de (...) posséder des drogues illicites", ce vendredi et les condamne à la peine maximale de 20 ans de prison.
Un verdict incompréhensible pour les avocats et les familles des victimes d’autant plus que parmi les dix Dominicains poursuivis, seulement quatre ont été condamnés à des peines allant de cinq à dix ans de prison.
Les Français qui comparaissaient libres après 15 mois de détention, le resteront jusqu’à ce que la sentence soit définitive, mais ne pourront pas quitter la République dominicaine. Mais la défense continue de s’organiser puisque leurs avocats ont annoncé qu'ils feront appel le mois prochain.
J'en appelle à Mr Fabius directement il doit intervenir immédiatement
— Fauret Sabine (@FauretS) 15 Août 2015
ET ILS OSENT SE DIRE INNOCENTS. ???????
Signaler RépondreVAR MATIN - 26 mars 2013 :
Signaler Répondre"cinq ou six passages l'année dernière
Les policiers dominicains et l'agence américaine anti-drogue surveillaient de près les rotations du jet privé, au-dessus de l'Atlantique. Sa piste était retrouvée dans le Var, dans un aéroport plutôt connu pour les déplacements de VIP et d'hommes d'affaires, à moins de vingt kilomètres de Saint-Tropez. L'aéroport de La Môle aurait vu se poser ce Falcon 50, « cinq ou six fois en 2012 », apparemment pour des vols intérieurs.
Le jet propriété d'Alain Afflelou
« L'avion venait de Paris et retournait vers Lyon, en tout cas sur le territoire français », confie une source sur place. Lyon c'est aussi où se trouve le siège social de la société qui louait le jet, un appareil qui est par ailleurs la propriété d'Alain Afflelou.
Les soupçons des enquêteurs étaient assez solides pour qu'une information judiciaire soit ouverte par le parquet de Draguignan en janvier dernier. Désormais, c'est la juridiction interrégionale spécialisée de Marseille, qui a le dossier en main, pour son volet français, ainsi que l'office central de répression du trafic illicite de stupéfiants
"Air Cocaïne. Quatre Français condamnés à 20 ans de prison" titre de l'article paru dans OUEST FRANCE.
Signaler RépondreCette affaire de TOULON a été évoquée rarement par les média ( LA CROIX en a parlé), mais sinon motus.
Bonjour Napo pouvez vous m'indiquer vos sources sur l'affaire de Toulon?
Signaler RépondreMerci beaucoup.
MDR on a vu a midi ils sont libres (sauf de sortir du pays) PARCE QU'ILS ONT FAIT APPEL. !!!!!!!
Signaler RépondreJ'ESPÈRE QUE LA secte NE VA PAS ALLER LES CHERCHER. !!!!!!!
Signaler RépondreCela montre bien le laxisme de notre Justice.
Signaler Répondrepar contre en France, au PUY, on libère un néerlandais, au bout de 2 jours de garde à vue,qui transportait 2600 pilules d'ectasy........
Signaler Répondre""En France, une enquête a également été ouverte après l'interception de l'avion en République dominicaine. Mais dès janvier 2013, les gendarmes étaient sur la piste de « comportements suspects » de passagers d'un Falcon 50 ayant atterri un mois plus tôt à Saint-Tropez (sud-est).
Signaler RépondreLe 9 décembre 2012, un douanier en poste à Toulon (sud-est), soupçonné aujourd'hui de complicité, était allé accueillir l'avion, avec à son bord Pascal Fauret, Bruno Odos et Nicolas Pisapia. Il avait fait entrer sur le tarmac deux véhicules qui avaient emporté dix valises déchargées de l'appareil.
Selon l'enquête, deux autres déchargements identiques avaient eu lieu en 2012. Un autre était prévu pour le 18 mars 2013.
Mais la défense des Français a fait feu de tout bois pour que ces faits ne soient pas utilisés par l'accusation durant le procès.""" (OUEST FRANCE)
La Justice dominicaine ne plaisante pas avec les trafiquants et elle a raison.