"Même dans mes cauchemars les plus sombres, je n'envisageais pas une telle décision. Je trouve que c'est moralement choquant, politiquement néfaste et juridiquement contestable", a commenté Bruno Gollnisch sur RMC à propos de l’exclusion du FN de son ami Jean-Marie Le Pen. Pour lui, c’est "une faute".
Quant à l’avenir de l’eurodéputé au sein du Front National, il est encore flou. Bruno Gollnisch ne veut pas d’un parti aseptisé. Pour lui, l’éviction du fondateur et la dédiabolisation entamée par Marine Le Pen donne "l’image d’un parti comme les autres. Ce qui ne me réjouit pas. (…) Je ne vais pas prendre de position hâtive. Mais s'il y avait des prises de position contraires aux valeurs que je défends et sur lesquelles j'ai été élu, bien sûr", conclut l’ancien élu de la Région Rhône-Alpes qui n’écarte pas la possibilité d’un départ.
Merci pour votre message, Ray, mais il est vrai que "nous n'avons les dirigeants que nous méritons". Alors, ce n'est pas la peine d'attendre qu'ils changent leurs habitudes si nous ne changeons pas les nôtres, pour commencer, lorsqu'il s'agit de la vie publique.
Signaler RépondreQuelle lucidité d'analyse l'ami Bellac. C'est sur que si les bureaucrates continuent de décider et d'appliquer les solutions, ça va être dur. Mais d'abord l’inconsistance citoyenne est a déplorer, au moment où l'on sait désormais que le clivage Gauche Droite a épuisé sa trajectoire. Le défis en appelle a une citoyenneté valide! la France en a-t-elle encore? J'en doute
Signaler RépondreComme tous les partis le FN a sa crise. Souhaitons que JMLP sera sage et ne continuera pas son œuvre de sape car la France a besoin de Marine.
Signaler RépondreAprès une droite archaïque et les socialo-communistes , on n'a plus le droit à l'erreur.
Bruno, ressaisis toi et cours aux cotés de Marine, si ce n'est pour toi, fais le pour le pays.
le FN est englué dans des querelles familiales qui sont le reflet de son amateurisme et de consanguinité.. comme tous les partis il aurait besoin d'un bon coup de jeune !
Signaler RépondreAucun regret pour son départ du FN, un parti qui pas plus que les autres, est capable de porter un projet cohérent pour la France. Il y a quelques individualités intéressantes, comme chez les Républicains, l'UDI, le PS ou le Front de gauche, mais cela ne suffit pas à en faire des personnalités politiques d'envergure.
Signaler RépondreDe toute façon, on a autre chose à penser qu'aux casseroles d'un passé que l'on nous refile à tout bout de champ pour nous empêcher d'aller de l'avant (avec la complicité des médias) alors qu'il est urgent de refonder de nouvelles valeurs, sans démagogie, sans amateurisme.
Peut-être cette situation changera-t-elle lorsque l'on interdira aux énarques de faire de la politique et qu'on leur imposera de faire une carrière administrative - et seulement administrative - pour appliquer les politiques publiques décidées par les représentants de la souveraineté nationale.