Lors de cet entretien, Michel Delpuech a fait part de sa "vive
inquiétude" quant au redémarrage de l’activité industrielle de l’usine
située dans le 7e arrondissement et placée en redressement judiciaire le
30 avril dernier. Ce dernier a également "insisté sur le caractère
inacceptable du retard des salaires survenus au mois d’août". Michel
Delpuech a également demandé "aux représentants des éléments tangibles
démontrant leur capacité technique et financière à redémarrer la
fabrication des produits, éléments qui seront nécessaires au tribunal de
commerce pour statuer sur la poursuite ou non de l'activité".
De
leur côté, les dirigeants de Cenntro Motors ont présenté les
perspectives de reprise des activités de production de véhicules
électriques et de filtres industriels, tout en "manifestant la volonté
du groupe de soutenir financièrement" le site de Gerland. Selon eux,
120 emplois pourront être pérennisés sur les 395 postes que compte
l’entreprise.
Le tribunal de commerce étudiera une nouvelle fois le dossier de Cenntro Motors le 10 septembre prochain.
De quoi s'occupe le préfet ? Seul le tribunal de commerce a les compétences indispensables dans cette situation !
Signaler RépondreA part " hausser le ton" qu'est-il en mesure de faire ?
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