Organisée par le Comité local pour le logement des jeunes en Rhône-Alpes
(CLLAJ), cette septième édition proposera donc des offres mais
également des ateliers et des conseils destinés à ceux qui cherchent à
se loger en prenant également en compte les arnaques et les pièges à
éviter, notamment sur internet.
Toutes les informations pratiques sont à retrouver sur le www.rhonealpes-uncllaj.org/lyon
bonne initiative que ce salon pour aider les étudiants à se loger ..j'ai moi même galérer quand j'étais étudiante pour trouver un toit ...j'en ai quand même retenu quelques enseignements : d'abord faut pas chercher à la dernière minute plus on commence tôt les recherches plus facile c'est. Ensuite y a pas qu'internet ..la preuve y aussi des salons et parfois même faire le tour des agences du quartier que l'on souhaite ça marche !! Après il y a les gens qui veulent le centre ville à tous prix alors qu'en s'éloignant un chouillat on trouve tout de suite plus facilement. Un bon plan aussi c'est de viser les logements en loi Pinel http://loipinel-gouv.org/ ou autres lois de défiscalisation : c'est neuf et louer 20% en dessous du marché par contre c'est parfois dur à dégoter ! Avoir un dossier prêt avec soi, être habillé correctement ça paraît basique mais ça joue énormément. bon courage les jeunes!
Signaler RépondreHeureusement que c'est pas la crise du logement pour tous
Signaler Répondrehttp://www.lyonmag.com/article/69468/rhone-394-personnes-accompagnees-par-le-programme-d-integration-andatu
pauvres etudiants!
Signaler Répondreentre les frais d inscription, les incertitudes sur leur orientation (les bacheliers qui ne sont inscrits dans aucune fac!!!!), et la precarité de leur logement....
je les plains... et je suis bien content d avoir fini les miennes depuis longtemps.. avec un regime pates/patate toute l années!
mais bon, la ministre de l education est en campagne a Villeurbanne
.. elle n a pas le temps de s occuper du logements de la futur génération de travailleur
Pauvres étudiants, les caisses de l’État vont servir à des aides pour les immigrés, donc pas pour eux, qu'ils se débrouillent seuls.
Signaler RépondreQuand je faisais mes études en 2005 à l'époque ils ne s'en occupait pas plus, il n'y avait pas de réfugiés par vague, les bourses étaient versés qu'au 3/4 de leur allocations théorique avec 5/6 mois après la rentrée et aussi une pénurie de logements étudiants, je me souviens même de reportage d'étudiants du coin qui vivaient dans des tentes.
Signaler RépondreCA ne changera absolument rien au statut étudiant mais bon, plus c'est gros plus ca passe avec les trolls FN
Signaler RépondreL’effort financier étant fait pour tous ces nouveaux immigrés, il sera malheureusement difficile de s'occuper de nos jeunes étudiants.
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