C’est le cas sur la ligne TGV Lyon-Paris.
En une semaine, 47 TGV
ont ainsi été sécurisés par les fonctionnaires de la Police aux
Frontières, et 17 personnes ont été interpellées. De leurs côtés, les
agents de surveillance générale de la SNCF ont dressé 26 PV, après avoir
contrôlé 13 TGV.
Depuis le 7 septembre, "4 à 5 allers-retours sont
sécurisés chaque jour dans les trains en partance de la gare de la
Part-Dieu. Chaque patrouille compte 3 à 4 fonctionnaires de police ou
agents de la sûreté ferroviaire de la SNCF. Une trentaine d'effectifs
sont ainsi mobilisés chaque jour", précise la préfecture du Rhône, à
l’occasion du déplacement de Michel Delpuech en gare de la Part-Dieu. Le
préfet de Rhône-Alpes a rendu visite aux agents de la Police aux
Frontières, de la Sécurité Publique et de la SNCF (SUGE) engagés dans ce
dispositif.
A noter que certaines rames particulièrement
fréquentées sur les lignes Lyon-St Etienne ou Lyon-Grenoble, sont
également surveillée de près par le service interdépartemental de
sécurisation des transports en commun de la DDSP.
Super, enfin une bonne chose
Signaler RépondreC'est très bien
Tant mieux
Dire qu'il faut un événement médiatique pour obliger la SNCF et in fine la préfecture de police à "appliquer le règlement". Il reste qu'il est impératif de mettre à l'affichage de façon moins confidentielle et plus explicite qu'à présent le règlement général de police des chemins de fer..
Signaler RépondreEn outre, il faudrait qu'il y une présence d'agents ,de sécurité en permanence, y compris pour les TER ce qui n'est pas manifestement pas le cas dans les gares implantées sur le territoire de la commune de Lyon, à commencer par celles-ci.