Selon le syndicat, le nombre de licenciements contraints est estimé à 25. Dans un premier temps, le plan social prévoyait 512 suppressions de postes dont 200 licenciements secs, pour la plupart sur les sites de Vénissieux et St Priest.
"Deux réunions de relecture de l’accord proposé par la direction ont eu lieu. Cela a permis de clarifier et d’améliorer certaines mesures. Les dernières propositions permettent d’obtenir des conditions satisfaisantes pour les salariés volontaires au départ. La direction du groupe Volvo s’est aussi engagée par écrit à maintenir l’activité du bureau d’étude et à développer la marque Renault Trucks", précise la CFE-CGC pour expliquer sa décision de mettre fin au conflit qui l’opposait depuis le printemps.
Le syndicat demande par ailleurs les autres organisations syndicales à signer cet accord, "faute de quoi une partie des mesures ne s’appliqueront pas", tout en rappelant que seuls les éléments d’un accord sur les mesures d’accompagnement aux départs volontaires sont signés. Autrement dit, la CFE-CGC "n’approuve en aucune façon un plan social d’entreprise injuste pour les salariés et dommageable pour l’entreprise".
Un nouveau comité central d’entreprise est fixé au 17 septembre.
Au total, quel est le nombre prévue de pertes d'emploi ???
Signaler RépondreSur le fond, ce plan ne sera pas le dernier, malheureusement.
L'objectif du groupe qui détient la marque Renault Trucks, reste la concentration des moyens de production et de recherches.
A l'échelle mondiale du groupe, les sites de Vénissieux et Saint-Priest constituent des doublons.
Tel que c'est écrit dans votre article, la signature de la CFE CGC est compréhensible. Maintenant à voir pour les autres OS, il y a sans doute des jusqu'auboutistes, qui souvent mène à la disparition des sites malheureusement.
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