Le scénario envisagé est donc celui de l’explosion d’une grenade dans un
bus TCL. L’engin sera associé à un récipient plastique d’environ 1,5
litre contenant un toxique de guerre. 39 victimes seront recensées dont 2
décédés et 11 impliqués dont 3 policiers.
Afin de réaliser cet
exercice, 60 personnes "joueront" ce scénario, qui fera intervenir
différents services comme le SDIS, le SAMU, la police, la gendarmerie,
la police judiciaire, la police technique et scientifique ou encore les
démineurs. L’objectif est notamment de tester la prise en charge
médicale des victimes et des intervenants.
Cet entraînement se
déroulera donc à 9h à l’école du SDMIS (service départemental et
métropolitain d’incendie et de secours) du Rhône. A noter qu’en
parallèle, une simulation d’attentat lors de l’Euro 2016 dans le stade
Geoffroy Guichard de Saint-Étienne sera joué à l’école du SDMIS de
Saint-Priest.
En condition reel il n'y aura pas autant de personnel pret à intervenir dans la minute donc sa ne sert presque à rien à part depenser payer des impots pour rien. Le jour oy se pasera qqchose ici on constatera qu'il ne seront pas intervenue dans les meme delais. et oui il n'y aura pas eu 300 personne au courant de l'attaque 1 semaine avt. Donc c'est d'un interet tres limité bien que le risque d'attaque soit T important dans nos ville et particulierement les capital des pays les plus important d'europe pour les 5 prochaine années surement voir plus exemple belgique 22/3 ou france 13/11. Et en condition réel la police n'aura pas coupé la circulation automobile dans le secteur de l'attaque avant que celle ci ai lieu la coupé avt comme il le font generalemnt pour leur test n'a donc aucun sens. Il faudrait la coupée de maniere à surprendre les auto pour faire des condition réel donc pas prevenir la population
Signaler Répondretitre sensationnaliste et alarmiste pour accrocher le lecteur et faire peur à ceux qui ont des proches prenant ces bus là!
Signaler RépondreBravo