Son résultat nul initial, il y a deux semaines, sur le terrain de La
Gantoise (1-1), adversaire présumé le plus faible du groupe H, alors
qu'un succès lui tendait les bras lui donne un déficit de deux points
dans la course à la qualification pour les 8es de finale que Jean-Michel
Aulas aspire à voir dans le Grand stade en février.
Cela ne devrait pas être l'objectif de la saison mais seulement une ambition parmi d'autres.
Celle
qui doit être la principale doit être de pouvoir retrouver la grande
compétition européenne inter-clubs la saison prochaine en terminant sur
le podium.
Pour l'heure, en jouant sur les deux tableaux,
l'Olympique Lyonnais ne paraît pas en avoir les moyens, faute d'un
effectif déséquilibré en raison d'un recrutement manifestement mal
préparé et surtout accablé par les nombreuses blessures, un mal
récurrent depuis plusieurs saisons.
Certes, celles-ci n'ont pas
toutes la même origine et certaines proviennent même d'une certaine
malchance. Celle de Nabil Fekir particulièrement qui risque de plomber
une bonne partie de la saison.
Car sans Fekir, dont Lacazette est
orphelin, et avec un Mathieu Valbuena, tout aussi bon joueur soit-il
mais peu à l'aise dans un rôle de meneur de jeu dans l'axe, peut-être
vaudrait-il mieux envisager de changer de système de jeu.
En
attendant, l'OL n'a pas fait le plein de confiance à Bordeaux où les
remplaçants ont failli et démontré à Hubert Fournier qu'il ne pouvait
guère compter que sur un onze de base dont il lui sera difficile de
s'éloigner tant qu'il n'aura pas récupéré des joueurs actuellement à
l'infirmerie.
Mapou Yanga-Mbiwa, par ailleurs assez décevant depuis
son arrivée, Henri Bedimo ou Rafael, lui aussi en difficulté, ne sont
attendus que pour le retour de la trêve internationale, mi-octobre.
Par
ailleurs, l'intervention d'Alexandre Lacazette, qui débutera ce soir
après avoir été ménagé en Gironde, samedi, dans un entretien accordé
lundi au quotidien l’Équipe où il critiquait Jean-Michel Aulas et Hubert
Fournier, n'est pas de nature à apaiser les tensions et les doutes.
Toutefois,
cela aura au moins permis de ne plus trop penser au match de Bordeaux,
perdu 3-1 et si une défaite devait être concédée contre le FC Valence,
Jean-Michel Aulas saura au moins à qui en attribuer la faute, du moins
publiquement.
Sur la rencontre en elle-même, Valence est quasiment sur un pied d'égalité avec l'OL. Son
début de saison est en dent de scie et sa défaite lors de la première
journée de Ligue des Champions à domicile contre le Zenit
Saint-Pétersbourg qui devient du coup le grand favori de la poule, le
met aussi sous pression de devoir absolument gagner contre les Lyonnais.
Et
si ces derniers ont perdu à Bordeaux, les Valencians, qui ont toujours
réussi contre les clubs français (14 victoires, 3 défaites, 5 nuls)
comme en barrage face à Monaco cet été, arrivent avec un peu plus de
confiance en eux après leur victoire en Liga à Grenade (1-0).
Et
l'entraîneur portugais Nuno Espirito Santos vise clairement la victoire
en annonçant que celui qui aurait la possession du ballon gagnerait la
partie.
ce soir 1er tour liminer petite quipe bien dommage ont a mis la charrue avant les b?ufs ils fallait attendre la saison prochaine surtout pour les gros salaires
Signaler Répondrele petit roquet prépubère doit ch dans son froc à cette heure ci
Signaler Répondrecette mauviette tuerait père et mère pour se faire du fric
ce sera la faute à qui ce soir s'ils perdent ? à l'arbitre ? à la pelouse ?
aux opposants ? au PSG ?
incroyable ce type comme il dessert sa "pauvre" cause
je vais regarder le feuilleton des loosers ce soir, juste pour voir la tronche du bon père de la loose.
Signaler Répondreje pouffe déjà de rire derrière mon écran.
tu as perdu une bataille et la guerre
Signaler RépondreNe sois pas aigri !
bientot ca sera un autre valence qui attendra l'ol si ils continuent ainsi
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