Des statistiques qui s’expliquent par plusieurs données : 53 % des salariés de la région ont vécu au moins une restructuration, réorganisation ou une modification de poste au cours de l’année écoulée. De même, 18 % se sont vus imposer un changement de poste ou de métier avec de nouvelles missions.
Dans l’ensemble, les salariés affirment comprendre la nécessité de s’adapter et d’être flexible pour correspondre aux transformations du marché mais ils estiment que ces changements exigent plus d’accompagnement et de soutien de la part de leur hiérarchie (seul 58% des employés s’estiment reconnus par leur direction).
En 2015, 38 % des salariés de Rhône-Alpes affirment que leur rythme de travail s’est accéléré. Un changement qui se traduit souvent par plus de stress, plus de fatigue physique et des difficultés à prendre du recul face aux décisions professionnelles.
Oui Casimir peut être mais alors arrêter de vous plaindre sans arrêt !! Bossez et prenez vos salaires et quand vous êtes fatigués partez en congés payés par votre patron et envoyez lui une carte postale pour le remercier !!!
Signaler RépondreLa société Malakoff Médéric a publié une étude sur les fonctionnaires et autres agents du secteur public il faut le préciser ... car les changements de postes, les réorganisations, la nécessité de s'adapter c'est le quotidien de la majorité des salariés du privé et ce depuis 40 ans au moins. Donc je ne vais pas pleurer pour quelques privilégiés que l'on bousculent un peu dans leurs habitudes ...
Signaler RépondreBof
Signaler RépondreDans mon entreprise, c'est RTT, salaire correct, intéressement, participation, tickets restau, TCL remboursé, CE cadeaux...............
Et la moitié des gens se plaint gnagnagna et regnagnagna et je suis fatigué et je suis déprimé et j'ai mal ici et là
Surtout les filles désolé mais c'est comme ça
Je pleurerai pas si tout ça se pète la gueule au final
Quand les gens seront dehors, ils réfléchiront peut être un peu et arrêteront de faire chier la planète et de pourrir le système
Le mal être au travail est souvent du à une incompatibilité d'humeur avec ses collègue, qui eux même sont bloqués dans l'entreprise, car il est très difficile de rebondir dans un autre emploi, du coup tout le monde se supporte.
Signaler RépondreVoilà le nombre de mes candidatures mail depuis Mars :
800 Candidatures directes sur différents sites archivés et encore que ça fait 2 mois que je ne les archives plus sur ma boite mail.
255 Candidatures sur le pole emploi archivés depuis Juin
1490 Mails de candidatures.
Sachant qu'il y'a 1000/2000 entreprises sur la ville autant dire que j'ai postulé partout, quasiment aucun retours, dans ces conditions quand vous avez un poste, vous vous y accrocher, même si vos collègues sont insupportable jusqu'au moment où ça se termine à la bagarre ou au suicide.
Voit pas en quoi vivre au chomdu avec l'angoisse quotidienne de se retrouver à la rue et crever de pauvreté et plus relaxant le troll du fn
Signaler RépondreLes migrants analphabètes touchent d'avantage que les retraités Francais !! Cherchez l'erreur !!
Signaler RépondreCeux qui trouvent que le travail les épuisent ont toujours la possibilité de quitter leur emploi pour le laisser à d'autres plus courageux car rester à la maison est moins fatigant que de travailler !
Signaler RépondreLe BTP c'est pire, bagarre pratiquement toutes les semaines...
Signaler RépondreEt parait que le taux de réversion de retraite va passer à 48% de la moyenne de ce que vous gagniez en fin de carrière, autant dire que sans complémentaire, c'est le minimum vieillesse garanti
Signaler RépondreEh oui le travail c'est la santé RIEN FAIRE C'EST LA CONSERVER...... Vous savez ce qu'il vous reste à faire,il y a un paquet de spécialistes qui peuvent vous renseigner. Cela devrait en intéresser plus d'un.
Signaler RépondreLes sujets genre "je ne veux plus travailler", "comment gagner sa vie sans travailler" pullulent sur le net. L'emploi devient rare et peu valorisant, il faut dire. Et souvent aussi il ne permet que de vivoter, sans stabilité ni projet.
Signaler RépondreEt la perspective de devoir, pour pas mal d'entre nous, continuer jusqu'à...parfois 67 ans, en sachant qu'après 45 ans on est "senior" pour le marché! Brrr...
Les usines ancien modèle étaient gérées par des patrons, national.
Signaler RépondreLes usines nouveau modèle sont gérées par des managers, mondial.
Vous connaissez sans doute la différence entre un ancien patron et un nouveau manager.
D'où ce nouveau monde, sans rapport avec la "bête".
Et oui les anciens ont vécu "sur la bête" on a plus qu'à trimer maintenant..
Signaler RépondreLe monde change, plus de flexibilité pour le patronat !
Signaler RépondreCe monde devient le votre les jeunes, bon courage.